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Lire notre coup
de geule
Kpax,
sur son site fermé depuis le 14 février, comme
leur boutique.
laisse vivre un très intéressant
guest book qui se transforme en mini
forum
l'Affaire Kpax dans la presse
le Matin, 350 PAQUETS SAISIS :19 avril
2000......
Le géant jaune soupçonnait un trafic via ses services. Alertées,
les polices romandes découvrent vite l'ampleur du phénomène Au
départ, ce sont des collaborateurs de la Poste qui ont eu la puce
à l'oreille. N'y aurait-il pas du chanvre dans de nombreux colis?
L'ex-régie a demandé à plusieurs polices cantonales de mettre
au point des contrôles. Ceux-ci ont débouché sur la saisie d'un
grand nombre de paquets en Suisse romande: 120 à Genève, 90 dans
le canton de Vaud, 90 en Valais et une douzaine à Neuchâtel. Les
envois ont été ouverts en présence des destinataires, qui ont
été dénoncés à l'autorité de poursuite pénale quand du chanvre
ou des produits dérivés s'y trouvaient.
VENTE de Marijuana via Internet et la Poste: le Tessin lance
un pavé dans la mare18.avrril 2000
Sévère croisade antichanvre. Un site, qui livrait l'«herbe»,
est fermé.
ATS/STEPHANE HERZOG
En Suisse, le commerce de marijuana via Internet
et La Poste fait florès. Ce système vient pourtant de connaître
son premier accroc au Tessin, où sévit une sévère croisade antichanvre.
Lancée l'automne passé par le procureur Antonio
Perugini, cette campagne a entraîné dans ce canton la fermeture
d'une dizaine de magasins spécialisés dans la vente de cannabis.
Mais aussi, par ricochet, la fin d'un site Internet spécialisé
dans la vente d'«herbe».
Basé à Mendrisio, le site Kpax livrait ses produits
à des fumeurs de joints dans toute la Suisse. Depuis presque trois
années, il permettait à ces derniers de faire leurs achats d'un
simple clic de souris, avec livraison à domicile. «Nous subissons
des pressions politiques, car les élections municipales approchent»,
affiche désormais ce site, dont la case postale et le compte en
banque ont été bloqués récemment par le Ministère public tessinois.
Les deux responsables du magasin du même nom, également
impliqués dans la gestion du site, ont été emprisonnés treize
jours. Ce qui a contraint leurs clients à trouver de nouvelles
adresses. «La Suisse compte une trentaine de sites semblables
au nôtre», affirme le propriétaire de Kpax.
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