LE GOUVERNEMENT SECRET
L'origine, l'identité, et le but
de MJ-12
écrit le 23 Mai 1989 révisé le
21 Novembre 1990
Les signes sont de plus en plus
nombreux. Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues,
vertes, rapidement. Quelqu'un vient de très loin et veut rencontrer
les gens de la Terre. Les rendez-vous ont déjà eu lieu. Mais ceux
qui ont vraiment vu se sont tus. Pape Jean XXII, 1935 NDT : Ce
document est une traduction d'un des plus intéressants chapitres
du livre Behold a pale horse, écrit par l'américain Milton William
Cooper et publié aux éditions Light Tecnology aux U.S.A
. : Light Tecnology Publishing
P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336 U.S.A.
Voici une présentation rapide de
l'auteur, compilée de sa propre petite auto-biographie disponible
dans son livre, et agrémentée des commentaires du traducteur :
Milton William Cooper, tout comme
son père, a décidé de travailler dans l' armée. Après avoir débuté
dans l'armée de l'air, William Cooper a continué sa carrière dans
la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d'abord, puis, il a été
affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la
guerre. Après quoi, il
a été affecté à un travail de côte
aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.
Il avait obtenu une autorisation au Secret lorsqu'il était dans
l'armée de l 'air, et il en avait eu besoin d'une pour les sous-marins.
Il en a demandé une autre pour travailler dans l'unité administrative
de la flotte et l'a obtenue. Il avait alors accès aux données
militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été
accordé une autorisation Q d'accès aux documents Top Secret afin
de travailler dans l'équipe de briefing des services de renseignement.
C'est là qu'il a appris les informations qui l' ont conduit à
une recherche de 18 ans, aboutissant à l'écriture d'un livre dont
ce document représente un des chapitres les plus importants. Il
lui a été plus tard donné une autre autorisation d'accès à la
cryptographie pour endosser parfois la responsabilité de surveillance
du centre de commande, en tant qu'opérateur SPECAT. C'est le jour
où il a appris que le bureau des renseignements de la Marine avait
participé à l'assassinat de J.F. Kennedy qu'il a décidé de quitter
l'armée définitivement. Après avoir essayé de communiquer les
informations qu'il détenait (à propos des OVNI, de l'assassinat
de Kennedy, du gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3, du
nouvel ordre mondial,...) à un reporter en 1972, il a été attaqué
par deux hommes en limousine qui ont réussi à le pousser du haut
d' une colline, où ils l'ont laissé pour mort. Mais il a réussi
à grimper la colline et a été secouru. Puis, un mois plus tard,
il a été accidenté par la même limousine, accident dans lequel
il a perdu sa jambe gauche. Les hommes de la voiture lui rendirent
une visite à l'hôpital, lui déclarant que si il continuait, ils
le tueraient la prochaine fois. Il leur dit qu'il ne ferait plus
rien, et changea sa stratégie. Cela lui a pris 16 ans. Il a démissionné
de l'armée en 1975 et dans sa vie civile, il a travaillé comme
responsable dans des instituts de formation en photographie, après
avoir obtenu un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un
magasine qui parlait d'un document découvert par Moore, Shandera
et Friedman, qui parlait des agissements cachés du gouvernement
à propos des OVNI, Mr Cooper a décidé de rentrer dans l'arène,
sachant que le document en question était un faux désignant une
opération dont il avait lu, lorsqu'il était dans la Marine, qu
'elle servirait à troubler le public, et sachant aussi que Moore
et Friedman étaient des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci,
d'assurer sa sécurité, il a rédigé ce document dans sa version
originale du 23 mai 1989, qu'il a expédié à de très nombreuses
personnes tout autour du monde, pour la somme de 27000$ de frais
d'expédition (toutes ses économies). Depuis, Mr Cooper a pu constater
qu'il était sous surveillance et il n'est pas le seul à le constater.
De plus, des agents du gouvernement ont très souvent essayé de
faire pression sur ses employeurs. C'est pourquoi Mr Cooper déménage
souvent. Tout ce qu'il a dit, il aurait pu ne jamais le dire et
vivre en paix, mais sa conscience l'a poussé à nous révéler ce
qu'il savait pour que d'autres sachent aussi. Depuis, d'autres
ont fait comme lui et la vérité apparaît au grand jour peu à peu.
Aux U.S.A. , ces informations ont été l'objet de nombreux reportages,
shows télévisés, radiodiffusés et d'articles dans de nombreux
journaux et revues. Ce phénomène est aussi connu chez les américains
qu'il est inconnu chez nous. Pourtant nous en avons parfois quelques
aperçus à travers les films et téléfilm télévisés de " fiction
" qui nous viennent des U.S.A. . ****************************************************
Quelques précisions avant d'entamer
le document Illuminati : Les illuminati constituent une société
secrète qui existe depuis le 18ème siècle et qui possède depuis
bien longtemps des membres disséminés à travers le monde dans
de nombreux cercles d 'influence. Cette société regroupe un ensemble
de personnes qui, à travers le monde et depuis bien longtemps
ont su et pu, grâce au soutien de quelques puissants, accéder
à des postes importants, à partir desquels ils recrutent eux-mêmes
des personnes dont les aspirations sont les mêmes. Le but de ces
gens est l'instauration d'un Nouvel Ordre Mondial à travers l'économie,
la politique et la manipulation mentale et psychologique des populations.
Conseil des Relations Etrangères (CFR en américain) : C'est une
organisation privée composée d'hommes d'affaires exécutifs et
de leaders politiques qui étudient les problèmes globaux et jouent
un rôle clef dans le déroulement de la politique étrangère des
USA. Le CFR est un des groupes semi-officiels les plus puissants
qui s'occupent du rôle de l' Amérique dans les affaires internationales.
Ce qui est moins connu, c'est qu'il est contrôle par un groupe
élu de personnes recrutées parmi des sociétés secrètes des universités
de Harvard et de Yale : le Skull & Bones et le Scroll & Key (ce
sont des associations dans lesquelles sont admises certaines personnes
de Harvard et de Yale, ayant passé à cette fin certains rythes
initiatiques et certains cérémoniaux), qui sont elles-mêmes des
branches de l'ordre des Illuminati. Ces personnes constituent
le comité exécutif du CFR, après avoir été admis dans une société
secrète du nom d'Ordre de la Quête, aussi connue sous le nom de
société JASON (l'admission dans des sociétés secrètes permet aux
Illuminati de s'assurer que leurs " recrues " sont en accord avec
leurs objectifs). Le CFR contrôle le gouvernement des USA car
ses membres (dont certains sont ignorants des motivations du comité
exécutif car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati ou de
leurs objectifs) ont infiltré à travers les années toute la branche
exécutive du gouvernement : le département d'état, le département
de la justice, la CIA, et les militaires les plus hauts gradés.
Jusqu'à présent, tous les directeurs de la CIA ont été membres
du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis Roosevelt.
Les membres du CFR contrôlent la grande presse et la plupart des
grands journalistes américains en sont membres. Le CFR est une
société secrète au sens où elle interdit la prise de notes ou
la divulgation d'une quelconque information à propos de ce qui
se dit lors de ses meetings, sous peine d' exclusion. Son but
est l'instauration du Nouvel Ordre Mondial. George Bush et Bill
Clinton sont des membres de la CFR, pour ne citer qu'eux. Commision
Trilatérale : La commission trilatérale est un groupe d'élite
de quelques 300 hommes d' affaires, politiciens et décideurs intellectuels
les plus influents de l' Europe Occidentale, de l'Amérique du
Nord et du Japon. Cette entreprise est une agence privée qui travaille
à la construction d'une coopération politique et économique entre
les trois parties du monde précédemment citées. Son grand dessein,
qui n'est plus caché depuis longtemps, est le Nouvel Ordre Mondial.
La commission trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de
la banque américain David Rockefeller. La raison de sa création
a été le déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique
vis à vis de la guerre du Viet-Nam qui a mécontenté beaucoup d'américains.
La raison de sa création est la même que celle qui pousserait
quelqu'un à faire courir 2 chevaux dans une même course : c'est
de doubler les chances de gagner. Le pouvoir réel est toujours
resté solidement dans les mains du CFR. La famille Rockefeller
était, est et restera toujours la bénéficiare de ces 2 organismes.
Groupe Bilderberg : Le groupe Bilderberg (du nom de l'hôtel où
s'est tenu sa réunion de constitution en 1954) a été créé de manière
à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati
en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant. Ses
membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale
dont le noyau dirigeant a été choisi lors d'un meeting du groupe
Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi
des grands organismes internationaux tels l'ONU, le FMI, l'OMS...
__________VOCABULAIRE UTILISE
POUR LA TRADUCTION___________ Extranéen : Néologisme créé à partir
du latin " extraneus " (étranger) et désignant tout être ou toute
réalité qui n'appartient pas à la culture humaine Alienigène :
Néologisme créé à partir du latin " alienigenus " (qui appartient
à une autre race) et désignant tout être dont l'origine et le
développement ne correspond pas à ceux des races évolutionnaires
de l'humanité terrestre. ************************************************************
Début du document : Perspective Plusieurs sources d'information
ont été utilisées pour la rédaction de ce document. J'avais tout
d'abord écrit ce document comme résultat de recherche. Il a été
pour la première fois rendu public au Symposium du M.U.F.O.N.
, le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada. La plupart de
ces renseignements viennent directement, ou sont des résultats
de ma recherche personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC
que j'ai vu et lu de 1970 à 1973 lorsque je faisais partie de
l'équipe de briefing des services de renseignement du Commandeur
en Chef de la Flotte Pacifique. Puisque quelques unes de ces informations
proviennent de sources que je ne peux pas divulguer pour des raisons
évidentes, et quelques autres de sources publiées desquelles je
ne peux répondre, ce document doit être formulé comme une hypothèse.
Je crois sincèrement que si les aliénigènes sont réels, ceci est
un document décrivant la véritable nature des choses. C'est le
seul scénario qui a pu relier les différents éléments. C'est le
seul scénario qui répond à toutes les questions et replace les
divers mystères les plus importants dans un contexte qui leur
donne un sens. C'est la seule explication qui montre les chronologies
des événements et démontre que ces chronologies, lorsqu'elles
sont assemblées, s'emboîtent parfaitement ensembles. Le plus gros
de ce document est, je le crois, vrai, si les documents que j'ai
vu dans la Marine sont authentiques. Quant au reste du document,
je ne sais pas ce qu'il en est, et c'est pourquoi il doit être
formulé en terme hypothétique. La plupart des preuves disponibles
actuellement et des preuves historiques sont en accord avec cette
hypothèse. Le gouvernement secret Au cours des années qui suivirent
la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement des Etats-Unis fut
confronté à une série d'événements qui allaient, au-delà de toute
prévision, changer son avenir et, avec lui, celui de l'humanité
entière. Ces événements étaient si invraisemblables qu'ils défiaient
toute crédibilité. Le président Truman et son cabinet furent si
stupéfiés qu'ils se trouvèrent virtuellement impuissants à leur
faire face, alors que le pays venait tout juste de traverser la
guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l'Histoire.
Les Etats-Unis avaient gagné la course à l'armement nucléaire.
Depuis qu'elle avait mis au point et même utilisé la bombe atomique,
cette nation se retrouvait la seule au monde à posséder une arme
dont la puissance pouvait réduire à néant tous ses ennemis et
la planète elle-même. C'était une époque de grande prospérité
pour les Américains. Leur avance technologique et leur économie
florissante leur offrait un enviable standing de vie. Ils exerçaient
une influence mondiale et déployaient la force militaire la plus
vaste et la plus puissante de l'Histoire. On peut donc aisément
imaginer la consternation et l'inquiétude de l'élite gouvernementale
quand celle-ci fut informée de l'écrasement, dans le désert du
Nouveau Mexique, d'un astronef piloté par des êtres à l'apparence
d'insectes et de provenance absolument inconnue. De janvier 1947
à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent
descendus, sans compter celui qui avait explosé dans les airs
et dont rien n'avait pu être récupéré. On en retira 65 corps et
un être vivant. Hormis l'appareil qui s'était désintégré dans
l'atmosphère, treize de ces incidents se produisirent sur le territoire
américain, dont l'un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un
au Névada. L'un des trois autres écrasements eut lieu en Norvège
et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il
devint impossible de compter sur les services de renseignements
existants pour effectuer une enquête sérieuse des témoignages
probants ou démentir les affabulation. Un appareil fut découvert
le 13 février 1948 sur une mésa près d'Aztec au Nouveau-Mexique
et un autre de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain
d'essai de White Sands. Au total, 17 corps furent extraits des
deux appareils. Mais l'élément le plus intrigant fut la découverte,
à l'intérieur des deux astronefs, d'une importante banque d'organes,
de toute évidence prélevés sur des êtres humains. Un sentiment
de paranoïa s'empara rapidement de tous ceux qui étaient "dans
le secret" quand ils comprirent qu'un démon venait de leur dévoiler
sa face monstrueuse. Aussitôt, l'affaire fut classifiée "plus
qu'ultra-secrète" et scellée dans un coffre de sûreté fermé à
double tour. Même le projet Manhattan ne s'était pas vu imposer
un tel silence pour sa sécurité. Ces événements allaient constituer
par la suite le secret le mieux gardé de toute l'Histoire de l'humanité.
En décembre 1947 fut mis sur pied le projet SIGN [ NDT : Signe
], lequel réunissait les hommes de sciences les plus éminents
d'Amérique pour étudier cette sordide affaire dans le plus complet
mystère. Il se métamorphosa et, en décembre 1948, devint le projet
GRUDGE [ NDT : Rancune ]. Une branche de celui-ci fut bientôt
créée sous le nom de BLUE BOCK [ NDT : Livre Bleu ]dans le but
de diffuser des informations anodines et surtout biaisées. Seize
volumes allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent
formées pour repérer les astronefs écrasés et en récupérer les
passagers, tant morts que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE
[ NDT : Ruée ], celles-ci devinrent les Equipes ALPHA. Durant
ces premières années, l'Armée de l'air des Etats-Unis et la CIA
exerçaient un contrôle absolu sur le secret de cette affaire.
En fait, la CIA avait d'abord été créée par décret présidentiel
en tant que "Groupe central de renseignements" pour s'occuper
expressément du problème de la présence extranéenne. Par la suite,
l'Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au titre
d'"Agence centrale de renseignements". Le "Conseil de sécurité
nationale" fut établi pour superviser les organes de renseignements
et spécialement ceux qui étaient rattachés à la question extranéenne.
Une série d'ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra peu
à peu la CIA des limites de ce seul domaine et, lentement mais
sûrement, finit par "légaliser" son action directe dans les affaires
intérieures et extérieures sous le couvert d'activités quelconques.
Le 9 décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall,
Forrestal et Patterson, ainsi qu'à celle de Kennan, directeur
du personnel des politiques de planification au Département d'État,
le président Truman approuva le rapport NSC 4 concernant la "coordination
des mesures d'information sur les services de renseignements étrangers".
A la page 49 du livre 1 du "Rapport final de la Commission d'enquête
sur les opérations gouvernementales reliées aux activités de renseignements
" - Sénat américain, 94e conférence, 2e session, rapport No 94755,
26 avril 1976 - le service des renseignements étrangers et militaires
cite: "Cette directive a donné au secrétaire d'Etat le pouvoir
de coordonner les activités de renseignements destinées à combattre
le communisme ". NSC 4A - une annexe ultra-secrète de NSC 4 -
chargeait le directeur de la CIA d'entreprendre des opérations
de couverture psychologique afin de poursuivre les buts avancés
par NSC 4, mais cette demande initiale ne définissait aucune procédure
formelle quant à la coordination ou à l'approbation de ces opérations.
L'annexe ne faisait qu'indiquer au directeur qu'il pouvait "entreprendre
des actions indirectes s'il s'assurait, en liaison avec l'État
et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux politiques
américaines. " NSC 4 et NSC 4A furent plus tard amendés sous NSC
10/1 et NSC 10/ 2 qui accordaient des possibilités de couverture
encore plus étendues, ce que prévoyait aussi la charte du Bureau
de coordination des politiques (OPC). Ces deux articles allaient
jusqu'à valider des pratiques illégales et des procédés en marge
de la loi, pour autant que les responsables de la sécurité nationale
en conviennent. La réaction ne se fit pas attendre. Aux yeux du
personnel des renseignements, "tous les coups étaient bons". NSC
10/1 permit la création d'un comité exécutif de coordination ayant
pour fonction de réviser les propositions des projets secrets
mais n'ayant pas mandat de les approuver. Ce groupe avait aussi
pour tâche secrète de coordonner les projets concernant les aliénigènes.
Les directives NSC 10/1 et NSC 10/2 donnèrent lieu à une interprétation
particulière du rôle des gouvernants. Elles semblaient sous entendre,
en effet, que ceux-ci préféraient n'être mis au courant de rien
avant que les opérations n'aient été accomplies avec succès. Une
zone tampon s'installa donc entre le président et l'information.
Si jamais des fuites venaient à divulguer le véritable état des
choses, le président serait donc automatiquement couvert par sa
méconnaissance des faits et se trouverait ainsi à l'abri de toute
accusation. Mais, avec les années, ce tampon servit à tenir les
présidents successifs dans l'ignorance la plus complète au sujet
de la présence extranéenne ou, tout au moins, permit au gouvernement
secret et aux agences de renseignements de filtrer les informations
qu'ils voulaient bien leur transmettre. NSC 10/2 établit un comité
d'étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient en
secret. Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes lignes
de ses fonctions furent stipulées dans NSC 10/5, un autre mémo
de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent la venue en
scène de MJ-12 quatre ans plus tard. James Forrestal, le secrétaire
à la Défense, commença à s'opposer au maintien du secret. Son
grand idéalisme et sa ferveur religieuse l'amenèrent à pencher
en faveur d'une diffusion publique de l'information. James Forrestal
était aussi l'un des premiers kidnappés connus. Dès qu'il eut
parlé du problème extranéen aux leaders de l'Opposition et à ceux
du Congrès, Truman exigea sa démission. Forrestal exprima à plusieurs
personnes ses craintes à cet égard ainsi que son sentiment d'être
surveillé. Il avait raison mais les autres ne connaissaient pas
ces faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la
paranoïa. On prétendit plus tard qu'il souffrait de troubles mentaux.
Il avait été interné au Centre médical de la Marine à Bethesda,
bien que l'administration n'en avait pas le pouvoir. En réalité,
Forrestal avait été interné pour être isolé et discrédité parce
que l'on craignait qu'il n'ébruite la chose. Il n'était pas permis
à sa famille et à ses amis de le voir. Finalement, le 21 mai 1949,
le frère de Forrestal pris une décision fatidique. Il informa
les autorités qu' il avait l'intention d'enlever James de Bethesda
le 22 mai. C'est pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des agents
de la CIA se rendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent
le coin d'un drap autour de son cou, en attachèrent l'autre bout
au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre. Le drap se déchira
et Forrestal plongea dans la mort, devenant l'une des premières
victimes de la conspiration du silence. Les carnets secrets de
James Forrestal ont été confisqués par la CIA et ont été conservés
à la Maison Blanche durant plusieurs années. Sous la pression
du public, les carnets ont été finalement réécrits et publiés
dans une version aseptisée. L 'information des véritables carnets
a été plus tard fournie par la CIA sous la forme d'un livre à
un agent qui l'a publiée sous la forme d'une fiction. Le nom de
l'agent est Whitley Strieber et le livre est Majestic. Le passager
qui a été trouvé errant dans le désert et rescapé de l'écrasement
d'un astronef à Roswell en 1949 fut nommé E.B.E., monogramme formé
d'après la désignation proposée par le professeur Vannevar Bush
et signifiant "Entité Biologique Extra-terrestre". E.B.E. avait
tendance à mentir ou à répondre à sa guise. On l'interrogea en
vain pendant plus d'un an. Il préférât s'abstenir plutôt que de
donner une réponse concluante. Il ne commença à s'ouvrir qu'à
partir de sa deuxième année de captivité. L'information qu'il
livra alors est pour le moins saisissante. Celle-ci fut compilée
dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW BOCK [ NDT : Livre
Jaune ]. Des photographies d'E.B.E. ont été prises que, parmi
d'autres, j'ai vu des années plus tard dans le projet Grudge.
Vers la fin de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel médical
fut impuissant à établir un diagnostic puisque, d'une part, il
ne possédait pas d'antécédents sur lesquels se baser pour le traiter
et que, d'autre part l'organisme d'E.B.E. transformait les éléments
nutritifs en énergie par photosynthèse, à la manière des plantes,
à partir de la chlorophylle, et rejetait aussi les déchets par
la peau. Plusieurs experts ont été appelés pour étudier sa maladie,
incluant des professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes.
On fit appel à un botaniste, le professeur Guillermo Mendoza,
pour le soigner et l'aider à se rétablir. Le professeur Mendoza
s'efforça vainement de sauver E.B.E. jusqu'au 2 Juin 1952, quand
il mourut. Le professeur Mendoza devint l'unique spécialiste en
matière de ce type de biologie extranéenne. Le film E.T. est l'histoire
à peine voilée d' E.B.E. . Les Etats-Unis avaient désespérément
tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses congénères
technologiquement supérieurs en commençant, au début de 1952,
à émettre un appel de détresse vers les vastes espaces sidéraux.
Ils ne reçurent aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne
foi, ils poursuivirent ce projet, nommé SIGMA. Par un décret-loi
secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très secrète
Agence de sécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif
premier de décoder le langage des aliénigènes en vue d'établir
un dialogue avec eux. Cette tâche des plus urgentes s'inscrivait
dans la suite des précédents efforts. L'objectif second de la
NSA consistait à surveiller toute communication émise par n'importe
quel appareil et provenant de n'importe où sur terre, et ce dans
le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu'aliénigène,
et de préserver le secret de la présence extranéenne. Le projet
Sigma fut fructueux. La NSA maintient aussi, de nos jours, des
communications avec la base LUNA et d'autres programmes spatiaux
secrets. Par décret-loi, la NSA est au-dessus de toute loi qui
ne spécifie pas nommément qu'elle est sujette aux prévisions de
la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n'est
pas écrit dans le texte de l'une ou l'autre loi votée par le Congrès,
la NSA n'est pas concernée par cette loi. De plus, la NSA remplit
beaucoup d'autres fonctions qui, en fait, la situent en tête des
agences de renseignements. De nos jours, la NSA se voit octroyer
75% des sommes allouées à l'ensemble des services de renseignements.
Un vieux dicton dit avec raison: "Où va l'argent va le pouvoir".
Le directeur de la Centrale de renseignements, quant à lui, n'est
plus aujourd'hui qu'un homme de paille maintenu en poste pour
berner la population. La fonction première de la NSA vise encore
les communications avec les aliénigènes, mais elle s'est maintenant
accrue de d'autres projets en liaison avec eux. Le président Truman
avait tenu nos alliés - y compris l'Union soviétique - au courant
des développements du problème extranéen. Il avait agi ainsi de
peur que les aliénigènes ne se révèlent menaçants pour l'espèce
humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en
cas d'invasion planétaire, mais il s'avéra difficile de garder
un projet d'envergure internationale à l'abri de la curiosité
normale des journalistes à l'égard des gouvernements. On jugea
donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin
de coordonner et de contrôler les efforts internationaux. Le résultat
fut la création d'une société secrète qui devint connue sous le
nom de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué en 1952. Son
nom vient de l'endroit du premier meeting publiquement connu,
l'Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses membres
ont été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général
de ce groupe est à Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont
transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant
absolument tout. Les Nations unies d'alors - comme de nos jours,
d'ailleurs - ne sont qu'une farce monumentale à l'échelle internationale.
En 1953, la Maison blanche accueillit un nouveau président, un
chef militaire entraîné au commandement des hommes selon des structures
hiérarchiques. Habitué à déléguer l'autorité, il préférait gouverner
en s'entourant de comités et ne prenait par lui-même une décision
majeure que si ses conseillers étaient incapables d'en arriver
à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager d'abord
toutes les alternatives en lisant tous les documents et en écoutant
tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la question
en approuvant l'une ou l'autre des multiples propositions. Ses
proches collaborateurs ont relaté que son mot d'ordre se résumait
le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient
à dire que "la fin justifie les moyens". Il passait le plus clair
de son temps sur les parcours de golf, ce qui n'a rien d'inusité
pour un ex-officier de carrière qui s'était élevé durant la dernière
guerre au grade ultime de Commandant suprême des forces alliées.
Ce président était le généralissime à cinq étoiles de l'armée
américaine Dwight David Eisenhower. Au cours de l'année 1953 -
sa première en poste -, au moins une dizaine d'écrasements de
disques furent signalés, dont quatre en Arizona, deux au Texas,
un au Nouveau-Mexique, un en Louisiane, un au Montana et un en
Afrique du Sud, sans compter des centaines d'apparitions- Des
trente aliénigènes qui furent récupérés, quatre étaient encore
en vie. Eisenhower comprit qu'il lui faudrait s'attaquer au problème
extranéen et arriver à le résoudre seul, sans devoir le révéler
au Congrès. C'est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président
se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue au Conseil
des relations étrangères, et lui confia la tâche d'ébaucher la
structure d'une section secrète qui aurait pour mission de superviser
l'ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen. C'est
ainsi que fut conçue l'idée de MJ-12, qui allait prendre corps
un an plus tard. C'était Winthrop Aldrich, l'oncle de Nelson Rockefeller,
qui avait joué le rôle le plus important en réussissant à convaincre
Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis.
Toute le famille Rockefeller, et avec elle l'empire Rockefeller,
avait très fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps
et âme au Conseil des relations étrangères et à la famille Rockefeller.
En requérant les services de Rockefeller pour s'occuper de la
question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande bévue de
sa carrière, une erreur capitale pour l'avenir des Etats-Unis
et, fort probablement, du monde entier. Moins d'une semaine après
son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d'un
comité consultatif présidentiel sur l'organisation du gouvernement.
Ce dernier était donc responsable de planifier la réorganisation
de l'administration, chose dont il rêvait depuis des années. Les
programmes de réforme furent cumulés en un seul portefeuille et
représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de
l'Education et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut
approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner
le poste de sous-secrétaire d'Orveta Culp Hobby. Ce fut au cours
de cette même année que des astronomes repérèrent dans l'espace
des objets de grande dimension se déplaçant en direction de la
Terre. Ils les avaient d'abord pris pour des astéroïdes mais l'évidence
s'imposa bientôt qu'il ne pouvait s'agir que de vaisseaux spatiaux.
Les radios du projet Sigma réussirent à intercepter les communications
transmises entre les astronefs, mais nul ne put décoder les intentions
réelles des équipages de ces immenses et nombreux vaisseaux qui,
en arrivant à proximité de la Terre, se placèrent sur orbite géosynchrone
à très haute altitude autour de l'équateur. Toutefois, les responsables
du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon
- lequel avait mission d'établir des relations diplomatiques avec
les étrangers d'outre-espace -, mirent au point un système de
signaux basé sur le langage binaire des ordinateurs et purent
ainsi établir un dialogue avec ces voyageurs de l'espace en provenance
d'une autre planète. Leur atterrissage fut convenu et donna lieu
à une première rencontre dans le désert. Le film rencontre du
3ème type est une version fictive d'événements qui eurent réellement
lieu. Un otage a été laissé chez nous en gage de leur retour pour
signer un traité. Entre-temps, des extranéens d'une autre race
- d'apparence humaine, celle-là - atterrirent à la base aérienne
de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec
le gouvernement américain. Ce groupe nous mit en garde contre
les initiatives de la race en orbite autour de l' équateur. Quant
à eux, ils lui avaient plutôt offert d'aider l'humanité dans son
développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé
du gouvernement qu'il commençât par démanteler son arsenal nucléaire.
Ils avaient en outre refusé tout marchandage technologique avec
lui en raison de l'immaturité morale dont nous faisions manifestement
preuve à l'égard des inventions que nous possédions déjà. Ces
ouvertures de conciliation furent rejetées sur les fondements
que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi
incertain. D'un autre côté, leur décision avait été d'autant plus
difficile à prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur aucun précédent
historique. Un troisième atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc,
dénommé maintenant base aérienne d'Edwards. La base a été fermée
pendant 3 jours et personne n'était autorisé à y entrer ou en
sortir durant cette période. Les aliénigènes s'entendirent avec
le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails
seraient discutés lors d'une rencontre ultérieure. L'événement
historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s'arrangea
pour être en vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu,
le président prétexta une visite chez le dentiste pour esquiver
les journalistes et se rendre en catimini à un rendez-vous plus
insolite. Les témoins de l' événement avaient pu voir trois O.V.N.I.
voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries antiaériennes
suivaient un exercice d'entraînement et le personnel stupéfié
a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d' eux. Bien
heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n'a
été blessé. Le président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes
le 20 février 1954, et un traité formel entre la nation extranéenne
et les U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène à
avoir jamais été reçu par notre Etat fut présenté comme étant
"Son Altesse toute-puissante Krlll" (prononcer Krill). Un titre
aussi pompeux ne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains
qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait
de lui substituer secrètement un sobriquet, commençant par les
mêmes lettres en anglais et signifiant "le tout-premier otage
Krlll", car il était l'otage qui avait été laissé lors du premier
atterrissage dans le désert. Peu après cette rencontre, le président
Eisenhower eu une crise cardiaque. Quatre autres personnes étaient
également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des
journaux Hearst, Edwin Nourse de l'institut Brookings, Gerald
Light, du célèbre institut de recherche métaphysique, et l'évêque
catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée
comme un microcosme représentatif de la réaction que le public
pourrait avoir. En se basant sur leur réaction, il a été décidé
que le public ne devrait pas être mis au courant. Plus tard, des
études ont confirmé cette décision. Une lettre chargée d'émotion
et écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails
froids : " Mon cher ami : je reviens tout juste de Muroc. Le rapport
est vrai - terriblement vrai ! J'ai fait le voyage en compagnie
de Franklin Allen du journal Hearst, d'Edwin Nourse de l'institut
Brookings (ancien conseiller financier de Truman) et de l'évêque
MacIntyre de Los Angeles (noms d'emprunt pour la présente, veuillez
m'en excuser). Quand nous avons été autorisé à entrer dans la
section à accès restreint (après environ six heures pendant lesquelles
nous avons été vérifiés sous toutes les coutures possibles à propos
de tous les événements, incidents et aspects de nos vies privées
et publiques), j'ai eu le sentiment précis que le monde touchait
à sa fin, avec un fantastique réalisme ; parce que je n' avais
jamais vu autant d'êtres humains dans un état de confusion et
d' effondrement aussi total parce qu'ils se rendaient compte que
leur conception du monde avait vraiment pris fin avec une telle
irrévocabilité qu 'elle en était indescriptible. L'existence de
formes aériennes " autre-avions " est maintenant et pour toujours
révoquée du domaine de la spéculation et fait douloureusement
partie de la conscience de chaque responsable scientifique et
de chaque groupe politique. Durant mes deux jours là-bas, j'ai
vu cinq types distincts d'astronefs en train d'être étudiée et
manipulée par nos officiels de l'armée de l'air - avec l' assistance
et la permission des " Ethériens " ! Je n'ai pas de mots pour
exprimer mes réactions. C'est finalement arrivé. C' est maintenant
une question d'histoire. Le président Eisenhower, comme vous pouvez
déjà le savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit, pendant
sa visite à Palm Springs récemment. Et c'est ma conviction qu'il
passera outre le terrible conflit entre les différentes " autorités
" et qu'il ira directement vers le peuple grâce à la radio et
à la télévision - si l' impasse continue plus longtemps. D'après
ce que j'ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays
est en cours de préparation pour être délivrée vers la mi-mai
". Nous savons qu'une telle déclaration n'a jamais été faite.
Le groupe du contrôle du silence a gagné la partie. Nous savons
aussi que deux vaisseaux de plus, pour lesquels nous n'avons aucun
témoin, ont soit atterri peu après les 3 autres, soit étaient
déjà en possession de la base avant l' atterrissage des 3 autres.
Gerald Light a mis le mot " Ethériens " entre guillemets pour
attirer l'attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir
été perçus comme des dieux par lui. Il est bon de préciser que
l'emblème de ces aliénigènes est connu sous le nom d'insigne trilatéral.
C'est celui qu'ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes.
A noter aussi que ces atterrissages et la seconde rencontre ont
été filmés et que ces films existent toujours. Le président Eisenhower
rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel
fut signé par les deux chefs d'Etat au nom de leurs nations respectives.
L'entente stipulait qu'aucune des deux parties ne devait s'immiscer
dans les affaires de l'autre. En échange de notre engagement à
préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous
fournir de la technologie de pointe et à aider à l'avancement
de notre science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre
nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, ils pourraient
enlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale
et d'étude de notre développement, à la condition expresse que
ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et soient ramenés à
leur point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces
incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables
extranéens devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes
les personnes contactées ou kidnappées. Il fut convenu que chacune
des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure
dans l'autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur.
En outre, on se mit d'accord pour procéder à des échanges culturels
par le biais de stages d'études. Ainsi, pendant que seize "stagiaires
étrangers" feraient leur apprentissage sur la Terre, seize des
nôtres seraient en visite sur leur planète avant d'être relayés
par un nouveau groupe au bout d'un certain temps. Une reconstitution
de cet événement a été adapté dans le film rencontre du 3ème type,
un " tuyau " qui s'explique par le fait que le professeur J. Allen
Hynek était le conseiller technique du film. J'ai remarqué que
le rapport Top Secret contenant la version officielle de la vérité
à propos de la question extranéenne, intitulé projet Grudge, que
j'ai lu pendant que j'étais à la Marine, avait pour coauteurs
le Lieutenant Colonel Friend et le professeur J. Allen Hynek,
qui était cité comme étant un homme de la CIA attaché au projet
Grudge - le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs
incidents O.V.N.I. légitimes quand il travaillait comme membre
scientifique du très public projet Blue Book. Le professeur Hynek
est l'homme responsable de l' abominable phrase : "C'était seulement
du gaz des marais ". On accepta aussi de construire, à l'usage
des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient
à des recherches conjointes et à des échanges de technologie.
Ces bases extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes
aux quatre coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et
de l'Arizona, et une autre serait construite dans un lieu appelé
Dreamland. Dreamland a été construite dans le désert Mojave près
ou dans un endroit appelé Yucca. Je ne me souviens plus si c'était
Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca Proving Ground, mais Yucca
Valley est ce que j' ai toujours semblé vouloir dire. Plus d'observations
d'O.V.N.I. et d' incidents ont lieu dans le désert Mojave de la
Californie que dans n'importe quel autre lieu dans le monde ;
tellement en fait, que personne ne s'est dérangé pour en faire
des rapports. Quiconque s'aventure dans le désert pour parler
aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l'activité et
par le degré d'acceptation démontré par ceux qui ont fini par
considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal. Toutes ces
zones sont entièrement contrôlées par le Département naval, selon
les documents que j'ai lu. C'est en effet la Marine qui émet la
solde de chaque membre du personnel assigné à ces installations
à travers un sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence
au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers ont immédiatement
démarré mais n'ont progressé qu'au ralenti jusqu'à ce que d'importants
subsides, en 1957, viennent relancer les activités conformément
au projet YELLOW BOCK. Le projet REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut
mis sur pied en vue d'entreprendre au plus tôt les premiers vols
expérimentaux à bord d'astronefs. Des installations ultra-secrètes
furent construites au lac Groom, dans le Névada, à l'intérieur
du rayon d'action des tirs d'essai, dans une zone qui porte pour
nom de code zone 51. Nul n'est autorisé à y pénétrer, pas même
le personnel, sans un sauf-conduit "Q" de la Marine et un laissez-passer
approuvé par l'administration (présidentielle, appelée Majestic),
ce qui ne manque pas d'ironie si l'on songe que même le président
des Etats-Unis n'est pas autorisé à visiter le site. Quant aux
échanges technologiques, ils se déroulaient à la base extranéenne
ayant pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion
souterraine dont le nom de code était "The Dark Side of the Moon"
[ NDT : La face obscure de la Lune ]. Selon la documentation que
j'ai lue, au moins 600 êtres aliénigènes résident finalement à
plein temps dans ce lieu avec un nombre inconnu de scientifiques
et de personnel de la CIA . En raison de la peur des implants,
seulement certaines personnes étaient autorisées à avoir des relations
avec les aliénigènes, et ce personnel était et continue à être
surveillé et contrôlé continuellement. L'armée fut chargée de
former une organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine
sécurité de tous les projets liés à la technologie extranéenne.
Cette section spéciale fut baptisée l'Organisation de reconnaissance
nationale. Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement
entraînées à sécuriser le projet furent appelées Delta. Le lieutenant
Colonel James " Bo " Gritz était un commandant de la force Delta.
De façon à étouffer les soupçons que les habitants de la région
risqueraient d'avoir en apercevant des ovnis Redlight, on créa
un projet parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués
selon des procédés conventionnels et exhibés à maintes reprises
aux journalistes. Le projet Snowbird avait également l'avantage
de discréditer, aux yeux de la population, les témoins d'authentiques
appareils extranéens (O.V.N.I. pour le public, V.A.I. pour ceux
qui sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène Identifié]).
À cet égard, il s'avéra une véritable réussite puisque les témoignages
de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu'à ces toutes
dernières années. Un fond secret de plusieurs millions de dollars
fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maison blanche.
Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément
enfouies sous terre. Aux présidents qui demandèrent à quel usage
étaient destinées ces mises de fonds, on répondit qu'elles serviraient
à leur creuser de profonds abris souterrains en cas de guerre
nucléaire. En fait, une très petite quantité était conçue à leur
intention. Par contre, des millions de dollars étaient écoulés
vers Majesty douze qui les redistribuait à des entrepreneurs pour
l'excavation de bases ultra-secrètes, tant extranéennes que militaires,
et les installations de la "Solution 2" à travers la nation. Le
président Johnson se servit à même ce fond pour faire ériger une
salle de cinéma et paver la route de son ranch, sans avoir la
moindre idée de l'objectif réel de ce trésor. C'est le président
Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond
secret en alléguant qu'il fallait "aménager et entretenir des
abris secrets dans lesquels le président pourrait s'enfuir en
cas d'attaque armée". Ces "refuges présidentiels sécuritaires"
consistent en de véritables cavernes creusées à une profondeur
suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont
équipées des appareils de communications les plus avancés. Mais
la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75
installations qui sont aujourd'hui disséminées sous le territoire
américain. D'autre part, la Commission de l'énergie atomique a
ordonné la construction d'au moins 22 autres abris. Leur emplacement
et toute question connexe sont traités sous le sceau du secret
le plus absolu. Le Cabinet militaire de la Maison blanche administre
à lui seul la totalité des fonds impartis à ce programme et en
distribue les parts suivant un réseau si complexe que même l'espion
le plus habile ou le comptable le plus compétent ne sauraient
jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance
ou en découvrir la destination. En 1980, seuls les quelques individus
placés au départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe savaient à quel
usage étaient consacrées ces sommes. A la position de départ,
il y avait le représentant du Texas George Mahon, président du
Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à
la Chambre, ainsi que le représentant de la Floride Robert Sikes,
président du sous-comité au Crédit de la construction militaire
à la Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent entendre que
Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le budget du Congrès
et qu'on se préparerait à le limoger par un coup de force. En
bout de ligne, on retrouvait le président, Majesty douze, le chef
du Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la
Marine à Washington. Les fonds étaient libérés par le Comité de
crédit qui les allouait au ministère de la Défense à titre de
poste ultra-secret concernant la subvention du programme de construction
militaire. L'armée ne pouvait cependant pas dépenser cet argent
puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait.
C'est à la Marine, en fait, que revenait l'autorisation de le
gérer. Elle commençait par le remettre à ses ingénieurs maritimes
de la division de Chesapeake, qui n'en connaissaient pas davantage
le but, ni eux ni même le commandant en chef, qui arborait pourtant
le grade d'amiral. Un seul homme connaissait la raison d'être,
le montant réel et la destination finale de ce fond ultra-secret.
C'était un commandant de la Marine assigné à la division de Chesapeake
mais qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de
la Maison blanche. En vertu du secret absolu qui entourait ce
capital, un très petit nombre d'individus en avait le contrôle.
Il leur était donc d'autant plus facile de faire disparaître jusqu'à
la moindre trace de son passage. Ce fond ultra-secret n'a été
soumis à aucune vérification comptable et ne le sera sans doute
jamais. De fortes sommes furent transférées de ce fond à un autre
à Palm Beach en Floride, dans une localité appartenant à la Garde
côtière et appelée Peanut Island. Or, cette "île aux Cacahuètes"
est précisément adjacente à un domaine qui appartenait à Joseph
Kennedy. Lors d'un documentaire présenté à la télévision il y
a déjà quelque temps sur l'assassinat de Kennedy, il avait été
justement question d'un certain officier de la Garde côtière qui
aurait remis une mallette remplie d'argent, de la main à la main
à la lisière des deux propriétés, à un employé des Kennedy. S'agirait-il
d'une indemnité versée aux parents pour la perte de leur fils?
Toujours est-il que ces versements ont continué sans interruption
jusqu'à ce qu'ils cessent en 1967. Ils auraient prétendument servi
à des travaux d'embellissement et d'aménagement paysager, mais
le véritable usage de cet argent demeure encore inconnu, tout
comme, d'ailleurs, le montant des fonds transférés. Entre-temps,
Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de
C.D. Jackson qui avait occupé la fonction d'Adjoint spécial pour
la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé
en celui d'Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre froide.
Ce poste évolua avec les années pour finalement comporter les
attributions qui étaient celles d'Henry Kissinger sous la présidence
de Nixon. Le rôle officiel de Rockefeller consistait à "fournir
conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension
et une plus grande coopération entre tous les peuples". Cette
description de tâche n'était toutefois qu'un écran de fumée pour
dissimuler ses activités secrètes en tant que coordonnateur présidentiel
des services de renseignements. Il en faisait rapport directement
au président, et uniquement à lui. Il assistait aux réunions du
Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique économique étrangère
et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute instance
gouvernementale en matière d'élaboration des politiques. En vertu
du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller
se vit en outre attribuer un autre poste clé, celui de chef du
Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète se
prévalait des services de personnes désignées selon les différents
besoins à l'ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad hoc
comptait à l'origine un représentant du ministère de la Défense,
un autre du Département d'Etat et le directeur de la Centrale
de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le "Comité
5412" ou le "Groupe spécial". Le décret NSC 5412/1 établit une
nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là,
le directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité
sur leur exécution. Dorénavant, ces opérations seraient soumises
à l'approbation d'un comité exécutif. Déjà en 1954, par son décret-loi
secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1
en constituant un comité permanent - et non ad hoc - qui allait
être connu sous le nom de Majesty douze - MJ-12 - et dont le rôle
consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes
ayant rapport à la question extranéenne. Le NSC 5412/1 ne fut
promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès
et de la presse. Majesty douze était composé par Nelson Rockefeller,
Allen Welsh Dulles, directeur de la Centrale de renseignements,
John Foster Dulles, secrétaire d'Etat, Charles E. Wilson, secrétaire
à la Défense, l'amiral Arthur W. Radford, président du Comité
interarmes des chefs d'état-major, J. Edgar Hoover, directeur
du FBI [ NDT : Bureau fédéral d'investigation], six membres clés
du comité exécutif du Conseil des relations étrangères, surnommés
"les Mages"., six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et
le professeur Edward Teller [NDT: " Père " de la bombe H et directeur
du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l'étude
des radiations)]. Le groupe JASON est un groupe scientifique secret
créé au moment du projet Manhattan et administré par la Miltre
Corporation. Le cour du Conseil de relations étrangères recrute
ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale qui étaient
sensés avoir passé l'initiation des " Skull and Bones " et " Scroll
and Key " du temps où ils fréquentaient ces universités. Les "
mages " sont des membres clés du Conseil des relations étrangères
et sont aussi membres d'un " Ordre secret de la Quête " connu
sous le nom de société JASON. Majesty douze est composé de 19
membres. La première règle de Majesty douze était qu'aucun ordre
ne pouvait être donné et qu'aucune décision ne pouvait être prise
sans un vote majoritaire de ses douze plus hauts personnages,
donc Majorité douze. Les ordres édictés par Majesty douze sont
devenus connus en tant que directives de Majorité douze. Le groupe
se composa donc, au fil des années, d'officiers haut gradés, de
directeurs et hauts fonctionnaires du Conseil des relations étrangères
et s'accrut plus tard de membres de la commission trilatérale.
Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski.
Au nombre des "Mages" les plus important et les plus influents,
on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman, Charles
Bohlen, George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques allaient
se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il est intéressant
de noter que le président Eisenhower de même que les six premiers
membres de Majesty douze issus du gouvernement, étaient aussi
membres du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle
de l'un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans
le gouvernement à un club d'intérêt spécial qui était lui-même
contrôle par les Illuminati. Des recherches approfondies permettront
bientôt de découvrir que tous les " mages " n'étaient pas à Harvard
ou à Yale, et que tous n'étaient pas choisis pour avoir été membre
du Skull and Bones ou du Scroll and key durant leurs années à
l'université. Vous pourrez effacer rapidement ce mystère en obtenant
le livre intitulé The Wise Men écrit par Isaac et Evan Thomas,
chez Simon et Schuster, New York. Sous l'illustration #9 au centre
du livre, vous trouverez la légende : "Lovett, avec l'unité de
Yale, en haut à droite, et sur la plage : son initiation au Skull
and Bones s'est faite sur une base aérienne près de Dunkerke ".
J'ai découvert que les membres étaient choisis sur une base actuelle
par invitation basée sur le mérite postuniversitaire et n'étaient
pas exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause de
cela, une liste complète des membres du Skull and Bones ne pourra
jamais être obtenue des catalogues d'adresse du quartier universitaire
de Russel Trust, aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort,
ou du Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il a été
impossible de répertorier les membres, que ce soit par nombre
ou par nom. Je crois que la réponse gît, cachée dans les fichiers
du Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.
Quelques personnes choisies furent plus tard initiées dans la
branche secrète de l'Ordre de la Quête, connue comme Société JASON.
Ces personnes sont membres du Conseil des relations étrangères
et à l'époque étaient connues sous le nom d'Establishment de la
côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée de la sérieuse
influence que peuvent avoir les associations universitaires occultes.
La Société Jason se porte encore très bien de nos jours, mais
elle compte aujourd'hui des membres de la Commission trilatérale.
Cette commission existait bien avant d'être rendue publique en
1973. Le nom de cette commission vient de l'insigne extranéen
connu comme étant l'insigne trilatéral. Majesty douze a aussi
survécu jusqu'à aujourd'hui. Sous Eisenhower et Kennedy, cette
section fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement,
le Groupe spécial. Sous l'administration Johnson, elle devint
le Comité 303 pour échapper aux allusions compromettantes dont
la dénomination 5412 avait été la cible dans un livre intitulé
Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre avait effectivement
été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite n'était
qu'une habile manoeuvre de diversion pour encore mieux dissimuler
l'existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford
et Carter, le comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan,
le numéro PI-40. Durant toutes ces années, seule l'appellation
de cette section a changé. Dès 1955, il devint évident que les
aliénigènes avaient abusé de la confiance d'Eisenhower et ne respectaient
pas leur traité. On fit la macabre découverte, à travers tout
le territoire américain, de cadavres mutilés non seulement d'animaux
mais aussi d'êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux
doutes sur l'intégralité des listes que les aliénigènes s'étaient
engagés à soumettre à Majesty douze, et on suspecta le fait que
tous les kidnappés n'étaient pas libérés. L'U.R.S.S. fut soupçonnée
d'avoir engagé des relations avec les aliénigènes, et cela s'est
révélé être vrai. Les aliénigènes ont déclaré qu'ils auraient
exercé et qu'ils continuaient à exercer un contrôle sur les masses
par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement
de la sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la religion.
Vous devez comprendre que ces déclarations pourraient aussi être
une manipulation. En guise de représailles, l'aviation militaire
s'engagea dans de nombreux combats aériens, mais elle dut baisser
pavillon devant la supériorité des extranéennes. En novembre 1955,
le décret NSC 5412/2 établit un comité d'étude ayant pour tâche
d'"explorer tous les facteurs pouvant contribuer à l'élaboration
et à la réalisation des politiques étrangères à l'ère nucléaire".
C'était seulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel
sujet d'étude, la question extranéenne. Par un autre décret-loi
secret - le NSC 5511 il - promulgué en 1954, le président Eisenhower
avait ordonné à ce groupe d'"examiner tous les faits, les évidences,
les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes afin
d'en dégager la vérité". Le NSC 5412/2 n'était qu'une façade devenue
nécessaire pour dévier l'attention des journalistes qui commençaient
à s'enquérir du but de ces réunions où se regroupaient tant de
personnalités politiques aussi importantes. Les premières rencontres
eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontres Quantico
car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie.
Le groupe d'étude réunissait 35 membres du Conseil des relations
étrangères, tous du groupe d'étude secret. Le professeur Edward
Teller fut invité à y participer. Durant les dix huit premiers
mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de président
d'étude et fut remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant
une égale durée à partir de novembre 1955. Nelson Rockefeller
y fit de fréquentes visites pendant les sessions d'étude. Les
membres du groupe d'étude Gordon Dean, Président Professeur Henry
Kissinger, Directeur d'étude Professeur Zbigniew Brzezinski, Directeur
d'étude Professeur Edward Teller Frank Altschul Maj. Gen. Richard
C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong Hanson W. Baldwin Maj. Gen.
James McCormack, Jr. Lloyd V. Berkner Robert R. Bowie Frank C.
Nash McGeorge Bundy Paul H. Nitze William A. M. Burden Charles
P. Noyes John C. Campbell Frank Pace, Jr. Thomas K. Finletter
James A. Perkins George S. Franklin, Jr. Don K. Price I.I. Rabi
David Rockefeller Roswell L. Gilpatric Oscar M. Ruebhausen N.E.
Halaby Lt. Gen. James M. Gavin Gen. Walter Bedell Smith Caryl
P. Haskins Henry DeWolf Smyth James T. Hill, Jr. Shields Warren
Joseph E. Johnson Carroll L. Wilson Mervin J. Kelly Arnold Wolfers
Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base
navale de Quantico, en Virginie, et le groupe d'étude devint connu
sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller s'était fait bâtir
une retraite, quelque part dans le Maryland, dans un endroit accessible
uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité
d'étude n'y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de
la presse et du public. Ce pavillon de campagne, de son nom de
code "Country Club", en plus d'offrir le gîte et le couvert, était
doté d'une bibliothèque, de salles de réunion et d'installations
récréatives (l'institut Aspen n'est pas le " Country Club ").
Le groupe d'étude fut "publiquement" dissous vers la fin de 1956
et Henry Kissinger publia, l'année suivante, un compte rendu "officiel"
des sessions sous le titre "Armes nucléaires et Politiques étrangères",
édité par Harper à New-York pour le compte du Conseil des relations
étrangères, en 1957. En vérité, Kissinger en avait déjà rédigé
80% à l'époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le comité d'étude
pouvait poursuivre ses réunions en secret. Les commentaires de
l'épouse et des amis de Kissinger sont révélateurs du caractère
sérieux qu'il attachait à ces rencontres. Ceux-ci relatent qu'il
quittait la maison très tôt le matin et n'y revenait qu'à la nuit
tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne répondait plus à
personne, comme s'il vivait dans un monde à part dont les autres
étaient inconditionnellement exclus. Les révélations faites au
cours des sessions d'étude sur la présence des aliénigènes et
leurs agissements avaient dû l'ébranler sérieusement pour qu'il
manifestât subitement un tel revirement d'attitude, autrement
inexplicable puisqu'il ne sera jamais plus affecté de cette manière
durant le reste de sa carrière, et ce peu importe la gravité des
événements auxquels il sera confronté. Il lui arrivait souvent,
en outre, malgré une journée de travail déjà bien remplie, de
prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement,
ce mode de vie le conduisit au divorce. Un des résultats majeurs
des travaux du comité fut de conclure à l'absolue nécessité de
ne pas mettre la population au courant de la présence extranéenne,
car le groupe estima qu'il en résulterait à coup sûr un effondrement
de l'économie autant que des structures religieuses, ainsi qu'un
déferlement de panique tel que la nation risquerait de tomber
dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument en préserver le secret,
et ce non seulement à l'égard du public en général mais aussi
face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds ailleurs
que dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche.
Or, on avait déjà obtenu la garantie qu'ils seraient assurés,
d'une part, par le biais des crédits de l'armée et, d'autre part,
au moyen de fonds confidentiels de la CIA non affectés à son budget.
La décision du groupe d'étude d'occulter le problème avait été
motivée par la découverte effarante que les aliénigènes utilisaient
des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions
glandulaires et hormonales, les enzymes et le sang et qu'il les
utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les
aliénigènes expliquaient que ces actions étaient nécessaires pour
leur survie. Ils disaient que leur structure génétique s' était
détériorée et qu'ils n'avaient plus la faculté de se reproduire.
Ils disaient que s'ils s'avéraient incapables d'améliorer leur
structure génétique, leur race cesserait bientôt littéralement
d'exister. Leurs explications ont été écoutées avec une suspicion
extrême, mais, comme nos armes s'étaient montrées inutiles contre
les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins préférable de continuer
à entretenir des relations diplomatiques amicales avec ces imposteurs,
du moins jusqu'au temps où nous serions technologiquement de taille
à leur imposer le respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la
survie de l'humanité, joindre nos forces à celles d'aunes nations,
à commencer par l'URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris
un double programme d'armement, à la fois conventionnel et nucléaire,
dans l'espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d'égalité
avec les aliénigènes. Ces recherches constituèrent les projets
JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme capturée chez
les Allemands et capable, à cette époque, de faire éclater un
blindage de 20 cm d'épaisseur à une distance de 3 km. Ce dispositif
émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma
qu'il pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens
et leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté, consistait
en une ogive de une mégatonne transportée par un missile téléguidé
pouvant s'élever à près de 10 000 m d'altitude relative, atteindre
une cible définie sans dévier de plus de 50 m et s'enfoncer à
1000 m dans un sol tassé et dur comme le tuf calcaire que l'on
retrouve au Nouveau Mexique, là où sont enfouies les bases extranéennes.
Joshua fut développé avec succès mais, à ma connaissance, jamais
utilisé. Excalibur, pour sa part, a été négligé jusqu'à tout récemment,
alors que des efforts sans précédent lui sont maintenant consacrés.
On dirait au public qu'Excalibur serait nécessaire pour prendre
les postes de commandements souterrains d'U.R.S.S. . Nous savons
que cela n' est pas vrai car une règle de guerre est qu'on n'essaie
jamais de détruire les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour
une reddition inconditionnelle, soit pour négocier les traités.
Ils sont aussi nécessaires pour assurer une transition pacifique
du pouvoir et l'acquiescement de la population aux termes des
traités négociés ou édictés. A partir des doutes qu'avaient suscités
les activités illicites des aliénigènes, et redoutant une manipulation
de leur part, une minutieuse investigation fut ordonnée à l'égard
du secret qui entourait les événements survenus au début du siècle
à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs espions au Vatican
et obtinrent assez vite toute l'étude du Vatican qui incluait
la prophétie. Cette prophétie affirmait que, si l'humanité ne
se détournait pas du péché pour se placer sous l'égide du Christ,
elle finirait par se détruire après avoir provoqué les événements
apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des Révélations.
La prophétie demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré
Cour. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un enfant qui
rallierait tous les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais
jetterait les fondements d'une fausse religion. La plupart des
gens discerneraient toutefois le mal dans les intentions de cet
homme et reconnaîtraient bientôt dans sa personne l'identité de
l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait au Moyen-Orient
avec l'invasion de l'Etat d'Israël par une nation des Etats arabes
unis. Celle ci utiliserait d'abord des armes conventionnelles
mais déclencherait finalement un holocauste nucléaire. Toute vie
sur terre serait condamnée à d'horribles souffrances qui ne sauraient
se terminer que dans la mort. La prophétie s'achève néanmoins
sur une note optimiste en annonçant le retour du Christ. Lorsqu'on
eut soumis ces prédictions aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent
la véracité. Les aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé
l'espèce humaine par croisements génétiques et l'avoir manipulée
par le biais de la religion, du satanisme, de la sorcellerie,
de la magie et du spiritisme. Ils expliquèrent plus tard qu'ils
étaient capables de voyager dans le temps, et que ces événements
auraient vraiment lieu si les conditions [NDT: de la prophétie]
n'étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie
extranéenne, les U.S.A. et l'U.R.S.S. ont pratiqué le voyage dans
le temps, dans un projet appelé RAINBOW, ce qui leur a permis
de voir la prophétie se confirmer. Les aliénigènes montrèrent
un hologramme censé représenter la véritable scène de la crucifixion
de Jésus. Le gouvernement a filmé l'hologramme. Nous ne savions
pas si nous pouvions les croire. Cherchaient-ils simplement à
nous manipuler à travers nos religions, alors même que notre foi
était authentique, ou bien avaient-ils vraiment inventé nos religions
comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais de
nos croyances? D'autre part,serions-nous réellement sur le
point de vivre les événements de la fin des temps et du retour
du Christ qui sont annoncés dans l'Evangile? Nul n'en avait la
moindre idée. En 1957 fut tenu un symposium réunissant les plus
grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent à la
conclusion que, vers l'an 2000, en raison de l'accroissement de
la population et à cause de l'exploitation de l'environnement,
notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention
divine ou extranéenne. Le président Eisenhower émit un décret-loi
secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario et de
lui soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que
confirmer la conclusion des hommes de sciences. En guise de recommandations,
la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées
solutions 1,2, et 3. Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant,
au moyen d'explosions nucléaires, d'immenses brèches à travers
lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s'échapper dans
l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter
l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions,
c'était la moins susceptible de réussir, d'une part, en raison
des tendances inhérentes de la nature humaine et, d'autre part,
à cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires
ajouteraient à l'environnement. L'existence d'un trou dans la
couche d'ozone pourrait indiquer le fait que la solution 1 pourrait
avoir été essayée. Ceci n'est en tout cas qu'une conjecture. Solution
2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors
dans lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les
sphères d'activités serait appelée à survivre pour perpétuer l'espèce
humaine. Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même
à la surface du globe. Nous savons que ces installations ont été
construites et sont prêtes et en attente des quelques personnes
à choisir. Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et
extranéenne afin qu'un petit nombre d'élus puissent quitter la
Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos. Je
ne saurais confirmer ou infirmer la possibilité que des contingents
d'esclaves [ NDT : appelés marchandise] aient déjà été expédiés,
dans le cadre de ce projet, en qualité de main-d'oeuvre. La destination
première est la Lune - de son nom de code Adam - et la seconde
est Mars - de son nom de code Eve. J'ai maintenant en ma possession
des photographies officielles de la NASA de l'une des bases lunaires.
Je pense que la colonie sur Mars est aussi une réalité.
Dans le but d'en retarder l'exécution,
les trois solutions furent accrues d'un programme de contrôle
des naissances - incluant la stérilisation - et de propagation
de microbes mortels en vue de ralentir l'accroissement de la population.
Le SIDA ne représente qu'un des résultats de ce plan. Il a été
décidé par l'élite que puisque la population devait être réduite
et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de la race humaine
de se débarrasser des éléments indésirables de la société. Les
cibles spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques
et les homosexuels. Les gouvernements américain et soviétique
ont rejeté la première solution mais ont conjointement ordonné
d'entreprendre la réalisation des solutions 2 et 3 à peu près
en même temps. En 1959, la société commerciale Rand organisa un
symposium sur les "constructions souterraines à grande profondeur".
Le prospectus contenait des photographies et des descriptions
de machines pouvant creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison
de 1,5 m par heure. Ces immenses corridors conduisaient à de gigantesques
voûtes souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques
et vraisemblablement des villes. De toute évidence, l'industrie
de la construction souterraine avait accompli des progrès significatifs
depuis ses débuts cinq ans auparavant. Les dirigeants comprirent
qu'un des meilleurs moyens de financer les projets clandestins
reliés aux aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des
stupéfiants. Les anglais et les français avaient établis un précédent
historique lorsqu'ils avaient exploité le marché de l'opium en
Extrême Orient et qu'ils l'avaient utilisé pour remplir leurs
coffres et gagner un solide pied-à-terre en Chine et au Vietnam
respectivement. A cet effet, on approcha un jeune et ambitieux
membre du Conseil des relations étrangères nommé George Bush,
qui était alors président-directeur général de la société pétrolière
texane Zapata, laquelle procédait à des expérimentations techniques
en haute mer. Or, les plates-formes de forage pourraient très
bien servir, estimèrent-ils avec raison, à opérer le trafic de
la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la contrebande à
bord de chalutiers qui la transporteraient depuis l'Amérique du
Sud jusqu'aux plates-formes de forage. De là, il ne restait plus
qu'à l'acheminer vers le continent en empruntant la navette de
ravitaillement du personnel régulier dont la cargaison n'est pas
soumise à l'inspection des douanes ni à la surveillance de la
garde côtière. George Bush accepta de collaborer à l'opération
avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les prévisions qu'il
est ensuite devenu pratique courante dans le monde entier, quoiqu'il
existe maintenant beaucoup d'autres méthodes pour introduire des
drogues illégales dans un pays. Il faudra donc toujours se souvenir
de George Bush comme ayant fait partie des promoteurs de la vente
de stupéfiants à nos enfants. De nos jours, la CIA contrôle mondialement
le marché noir de la drogue. C'est le président Kennedy qui a
lancé le programme spatial "officiel" quand, dans son discours
inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un homme
sur la Lune avant la fin de la décennie. Malgré l'honnêteté de
ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables de
couler des sommes gigantesques vers les projets clandestins tout
en détournant le peuple américain du véritable programme spatial.
L'Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même
objectif, car, en réalité, au moment même où Kennedy s'adressait
à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes,
avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune. Le 22 mai
1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l'environnement
y était propice à la vie. Il n'en fallait pas davantage pour qu'on
s'y rendît aussitôt fonder une colonie. Je pense qu'il s'y trouve
aujourd'hui des villes peuplées d'individus spécialement sélectionnés
pour leurs compétences particulières et provenant de toutes les
cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les Etats-Unis
ont, durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques
soi-disant antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir
de financer des projets de ce genre au nom de la Défense nationale,
puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde. Dans
une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes
de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C'est pourquoi,
en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant
de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire
le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa
Majesty douze de son intention de révéler l'existence des aliénigènes
à toute la nation l'année suivante. Il leur ordonna donc de préparer
un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy
ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères. Aussi
ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes
aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères,
je n'ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité).
Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées
par un comité de l'élite Bilderberg connu sous le nom de "Comité
des politiques". Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par
le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S.,
par une organisation homologue. La décision du président Kennedy
fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat
fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre
en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John
F. Kennedy a été assassiné par l'agent des services secrets qui
conduisait sa voiture dans le cortège et l'acte est pleinement
visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas
Kennedy quand vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui
se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont
très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi
eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort
que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien
d'étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n'ait abouti
à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était
occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par
ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain.
Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur
le mystère extranéen, ils ont connu la même fin tragique. A l'heure
actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées
dans l'assassinat sont mortes. La probabilité que toute ces personnes
soient mortes au hasard est si faible que personne n'a été capable
de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins
soient morts dans les 2 ans suivant l'assassinat a été calculée
à une chance contre cent mille milliers de milliard. Vous pouvez
commander une copie du film en envoyant $30+ $4 de frais d'envoi
à William Cooper, 19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington Beach,
California 92648. En décembre 1988 j'ai eu une conversation téléphonique
pendant laquelle, j' ai dit à John Lear ce que j'avais vu dans
la Marine concernant l'assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que
les documents Top Secret disaient que l'acte était pleinement
visible dans un film pris dans le public. J'ai dit que j' avais
vu un film qui montrait Greer tirer sur JFK, il y a 16 ans de
cela, mais que je n'en avais trouvé aucune copie depuis. J'ai
été choqué et très plaisamment surpris lorsque John m'a demandé
: " Voudrais-tu le voir ? ". Moi ? Bien sûr, ai-je répondu par
l'affirmative. Alors John nous a invités, Annie et moi, à venir
chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours chez John . Non
seulement il m'a montré le film, mais il m'en a donné une copie
vidéo. J'ai montré cette vidéo à chaque fois que j'ai parlé à
un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas revisité. John
m'a dit qu'il l'avait obtenu par une connaissance à la CIA dont
il ne devait pas livrer le nom. J' ai plus tard découvert que
l'auteur de cette version du film Zapruder est Lars Hansson .
John Lear montrait ce film à chaque meeting qu'il dirigeait. Peu
après que Lear m'ai donné une copie du film, Lars Hansson m'a
appelé et demandé si il pouvait faire un saut chez moi à Fullerton
en Californie. Je lui ai dit qu'il le pouvait et lui ai demandé
de m'apporter une meilleure copie du film si il en avait une.
Lars m'a dit qu'il le ferait. Il m'a aussi dit qu'il m'apporterait
un film à propos d'un homme appelé Bo Gritz, dont je n'avais jamais
entendu parler. Mr Hansson m'a informé qu'il avait copié ce document
en vidéo pour Bo Gritz et John Lear et que tous deux l'utilisaient
dans leurs conférences. J'ai plus tard découvert que Bo Gritz
vendait la bande à 10$ [ NDT : environ 50f ] la copie. Lars vint
chez moi, apporta les films sur bande vidéo et nous avons discuté
pendant une heure environ. Son objectif principal était de me
dire qu'il voulait que je montre le film aux gens mais qu'il ne
voulait pas que je le mette en relation avec le film de quelque
manière que ce soit. J'ai accepté de ne pas divulguer ma source
et je me suis tu. J'ai commencé à utiliser la bande lors de mes
conférences. Quand j'ai découvert que Bo Gritz la faisait circuler
librement, j'ai cédé à la pression du public et je l'ai aussi
fait librement circuler. Plus tard, j'ai lu dans un des journaux
de Los Angeles (dont j'ai oublié le nom), que Lars Hansson disait
qu'il ne savait pas que je possédais le film et qu'il ne savait
pas que je le diffusais lors de mes conférences. Hansson disait
dans cet article, qu'il était présent à ma grande conférence d'
Hollywood, le 5 novembre 1989, et qu'il avait essayé de contester
mes propos lors de cette conférence, au moment de la partie question/réponse,
mais qu' on ne lui avait accordé aucun droit de parole. Nous avions
enregistré l' événement sur bande vidéo et à la fin j'ai demandé
aux gens ayant des questions ou des commentaires d'aller vers
le micro que nous avions placé dans l'allée. J'ai bien examiné
chaque recoin de cet enregistrement et Lars Hansson ne s'est jamais
levé de son siège, ni même jamais redressé, ni essayé d'une quelque
autre manière de se manifester. Lars m'a rappelé plus tard et
m'a demandé de ne plus utiliser sa voix sur la bande, sa voix
qui disait sans hésitation et sans réserve aucune, pendant qu
'il narrait la bande vidéo, " le conducteur de la voiture tourne
avec son bras gauche au dessus de son épaule et fait feu avec
un pistolet. Vous voyez le 45 automatique, arme automatique plate
recouverte de nickel de calibre 45 qu'il tient dans sa main gauche.
Il faisait feu par dessus son épaule droite, vous le voyez clairement.
Vous voyez sa tête s'orienter à l'arrière vers le Président. Dans
ce gros plan vous voyez que l'impact le repousse violemment vers
l'arrière contre le dos de son siège. Vous voyez Mme Kennedy envahie
par un sentiment de terreur ". Puis, plus loin dans le film, Lars
Hansson dit : " vous pouvez clairement voir sa (au conducteur)
tête tourner et son bras, et l'arme qu'il tient au bout, viser
par dessus son épaule droite ". J'ai accepté de ne plus utiliser
sa voix. Dans mes conférences suivantes, j'ai montré l'enregistrement
sans bande audio. Il s'est avéré que les gens le voyaient beaucoup
mieux sans narration. Il est important que vous compreniez bien
ce qui précède, car vers la fin de l'été 1990, après que j'aie
montré le film pendant plus d'un an et demi, Lars Hansson a commencé
à se montrer à la radio, proclamant que Greer, le conducteur,
n'avait pas tiré sur le Président. Lars Hansson s'est montré à
ma conférence, en raillant de forte voix et en se faisant passer
pour un âne. Quand la conférence s'est terminée, il a abordé les
gens dans la foule et, de concert avec David Lifton, a essayé
de les convaincre qu'ils n' avaient pas vraiment vu Greer tirer
sur Kennedy. Pour leur déconfiture, la plupart des gens dirent
à Hansson et Lifton " d'aller se faire voir ailleurs ". Une fois
que les gens l'on vu de leurs propres yeux, ils ne peuvent plus
être dupés. Hansson, Lifton, Grodin, et les autres agents du gouvernement
secret n'en ont plus pour longtemps. Les américains ont compris
l'arnaque. J 'ai des frissons rien qu'à penser à ce qui arrivera
à ces gens lorsque les américains finiront par se mettre en colère.
N'oubliez pas que Lear m'a informé que sa source pour le film
était un agent de la CIA qui s'était révélé être plus tard, Lars
Hansson. Hansson a plus tard clamé que j'avais violé son copyright.
Il n'avait aucun copyright. Hansson lui-même avait violé le copyright
de quelqu'un en faisant cette vidéo et en la donnant à Lear, Gritz
et moi: je n'avais et n'ai toujours aucune considération à propos
du copyright de CE film en particulier. Si je l'avais fait, personne
ne saurait jamais qui a réellement tué notre président. Bo Gritz
a déclaré à la radio, qu'il avait exactement le même sentiment.
Hansson n'a jamais attaqué Lear ou Gritz, qui montrent toujours
la bande, et Gritz continue à la faire circuler. Je me demande
pourquoi ? Est-ce que Lear, Hansson et Gritz travaillent ensemble
? Robert Grodin est alors entré en scène. Il m'a publiquement
mis au défi de débattre avec lui. Il a proclamé avoir une copie
du film Zapruder montrant que Greer n'avait jamais enlevé ses
mains du volant de la voiture. Grodin est un agent actif du gouvernement
secret dont le travail est de noyer le public dans la confusion
et de perpétuer le nuage de brouillard. J'ai appelé Bob Grodin
et accepté son défi. Je l'ai invité à se montrer avec moi en public
au collège de Beverly Hills et de projeter son film. Il projetterait
son film et l'audience déciderait. Il a refusé. Il a refusé parce
qu'il savait que je savais que l'audience le huerait. Grodin sait
que Greer a tiré sur Kennedy parce qu'il fait partie du système
de couverture de la vérité. Bob Grodin est ce même Bob Grodin
qui prétend être le premier expert indépendant en interprétation
photographique. Bob Grodin n'a AUCUNE éducation photographique
quelle qu'elle soit. Il n'a jamais travaillé dans la photographie.
Bob Grodin n'a jamais, de sa vie, été un interpréteur photographique.
Il a menti au public à propos de ses références pendant toutes
ces années et personne ne les a même jamais vérifiées, même le
congrès lorsqu'il l'a engagé. Pensez-vous vraiment que cela soit
accidentel ? PAR CONTRE, J'AI UN DIPLOME DE PHOTOGRAPHIE. Bob
Grodin est ce même Bob Grodin qui a été engagé par le comité sur
les assassinats de House Select en 1976. C'est le même Bob Grodin
qui a menti de manière flagrante au comité et lui a dit que le
conducteur, William Greer, n 'a jamais enlevé ses mains du volant.
Son métier est d'écrire des livres et de vous plonger dans la
confusion. Son métier est de maintenir la position selon laquelle
le gouvernement a menti et qu'il y avait une conspiration. Son
métier est aussi de vous empêcher de connaître la vérité à propos
de CELUI QUI a tué le président. Vous ne pouvez pas accepter le
Nouvel Ordre Mondial si vous avez foi en votre gouvernement, et
vous AUREZ confiance en votre gouvernement si vous apprenez que
Greer a tué Kennedy sur les ordres des Illuminati et que cela
n'a rien à voir avec le gouvernement constitutionnel légal. Saviez-vous
que l'homme qui était responsable du service secret à l'époque
de l'assassinat est devenu l'homme responsable de la sécurité
de la famille Rockefeller jusqu'à sa retraite ? Eh bien, maintenant
vous le savez. Vous devriez aussi savoir que Bob Grodin est un
ami de Leslie Watkins, et c'est le nom de Bob Grodin que Watkins
utilise comme pseudonyme de l'Astronaute cité dans Solution 3.
Saviez-vous que lorsque Ricky White a fait son apparition dans
les débats radiophoniques à travers le pays pour dire que son
père avait tué Kennedy, Bob Grodin l' accompagnait. Saviez-vous
qu'à chaque fois qu'un auditeur appelait Ricky White pour lui
poser une question, c'est Grodin qui répondait à sa place ? Pensez-vous
vraiment que cela soit une coïncidence ? Le père de Ricky White
n'a pas tué Kennedy. Pendant des années, j'ai parlé aux gens et
lors des audiences des divergences entre les rapports des docteurs
de Dallas et du rapport d' autopsie fait à l'hôpital de la Marine
de Bethesda. J'ai montré que les blessures avaient été falsifiées
et modifiées. J'ai dit au monde entier que le corps avait été
enlevé de son cercueil à bord de l'avion et avait été enlevé hors
du placard et dans un hélicoptère de la marine, et qu'il était
arrivé à l'hôpital de la marine de Bethesda une bonne trentaine
de minutes avant le cercueil officiel vide. J'ai constaté que
le cerveau du président avait disparu et j'ai expliqué pourquoi
il avait disparu. Très soudainement, David Lifton fit son apparition
à la radio et à la télévision en 1990, en disant au monde qu'il
avait de NOUVELLES preuves qu' il avait découverte lui-même. Sa
nouvelle preuve était exactement dans les moindres détails, ce
que j'avais dit aux gens pendant des années. C'était la même information
que celle que j'avais donné à Bob Swan en 1972. Lifton était venu
à ma conférence au collège de Beverly Hills. Après avoir fait
un scandale au bureau d'accueil parce qu'il fallait payer l'entrée,
Lifton a abordé quiconque s'aventurerait dans le couloir, et avec
Lars Hansson, a essayé de convaincre les gens qu'ils n'avaient
pas vu Greer tirer sur Kennedy. Des personnes légitimes n'auraient
jamais agit d'une manière aussi disgracieuse et discréditante.
Mon témoignage et l'outrage du public après avoir vu le meurtre
du président Kennedy de ses propres yeux, a sérieusement endommagé
la couverture. Le comportement de Grodin, Lifton, et aussi Hansson
en révèle le degré de détérioration. Le public peut maintenant
voir sans l' ombre d'un doute que soit ils font partie de la couverture
ou bien qu'ils sont des chercheurs totalement incompétents, et
dans le cas de Grodin, un menteur éhonté qui pouvait avoir trahi.
Au milieu de tout ceci, le TV magazine " Hard copy " m'a appelé
et voulait voir le film. Je leur ai montré le film et ils ont
été choqués et passionnés et en voulaient l'exclusivité. Je le
leur ai donné mais je leur ai dit que je doutais fort que cela
soit jamais mis à l'antenne. Une date fut convenue pour la diffusion
à l'écran, mais juste avant que nous ne passions le film, un attaché
exécutif de NBC a appelé les studios de " Hard copy " de Los Angeles
et leur a dit de ne pas diffuser le film. J'ai essayé de trouver
le nom de cet attaché, mais je n'y suis pas arrivé. C'était la
fin de l' affaire. Le producteur qui avait essayé de porter mon
histoire à l'écran et le film sur Kennedy ne travaille plus chez
" Hard copy ". Son nom est Bubs Hopper. Un autre producteur (dont
je ne me souviens plus le nom) de " inside Edition ", un autre
TV magazine, m'a contacté, me disant que les américains avaient
besoin de voir le film. J'ai accepté d'aller au show mais je lui
ai répété la même chose, à savoir que je ne pensais pas que cela
soit jamais porté à l 'écran. Une semaine plus tard, j'écoutais
David Lifton à un show parlé radiodiffusé. Quelqu'un l'a appelé
et lui a demandé si il savait qui j'étais et David Lifton a répondu
: " Je sais qui il est et nous avons une surprise pour Mr Cooper.
Nous allons le démasquer pour de bon dans un show d'une télévision
nationale. Nous allons régler tous nos comptes avec cette personne
". J'ai fait appeler le producteur par quelqu'un pour annuler
parce qu'il m' avait menti. Il a dit qu'il parlait en mon nom.
J'ai demandé à travers cet intermédiaire à n'apparaître que si
je pouvais avoir un contrôle éditorial, pour m'assurer qu'il ne
ferait pas un montage de morceaux pour ridiculiser le film. Il
a refusé, et j'ai alors su que son intention avait été dès le
début de me discréditer. Quand le morceau a été diffusé, Lars
Hansson a été convié comme remplaçant, à ma place. Hansson, l'homme
qui m'avait attaqué, et affirmant que Greer n'avait pas tiré sur
Kennedy ! La raison en devenait évidente, puisqu'ils ont diffusé
Bob Grodin à la séquence suivante. Grodin a ridiculisé et déboulonné
Hansson et le film. Ils avaient eu l'intention de me hacher menu,
mais lorsque j'ai annulé, ils ne pouvaient plus attaquer le film
qu'avec Hansson à ma place. Cela avait tout à fait l'apparence
d'une opération de service de renseignement. Cela n'a pas marché.
J'ai découvert l'étape suivante lorsque Grodin a dit à la radio,
qu'il allait bientôt (enfin) diffuser une vidéo de sa soi-disante
excellente copie du film Zapruder surexposé pour mettre les détails
en lumière. La surexposition mettrait complètement en évidence
le bras et l'arme de Greer, qui seraient tous deux en plein soleil,
ce qui aurait pour effet de les rendre tous deux invisibles. J'espère
que les gens ne sont pas aussi stupides que Grodin pense qu'ils
le sont . Je discuterai avec quiconque et n 'importe quand tant
que c'est en face d'une audience directe et que rien n' est passé
au montage. J'ai vu ce qu'un monteur de film peut faire pour faire
paraître quelqu'un, dire et faire ce qu'il n'a jamais dit ni fait.
Au début de l'ère spatiale et à l'époque des expéditions lunaires,
les satellites habités étaient toujours escortés d'un astronef
extranéen. Le 20 Novembre 1990, la chaîne de télévision n°2, a
annoncé qu'un objet de forme ronde, de couleur rouge rayonnante
et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière
le long de sa dernière mission classifiée militaire. C'était le
première reconnaissance publique de la chose. Les cosmonautes
de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée
LUNA. Leurs photographies officielles par la NASA nous révèlent
des structures en forme de dômes, de spirales, de larges structures
circulaires qui ressemblent à des silos, de même que d'immenses
véhicules miniers en forme de T qui traçaient sur la surface de
la Lune des marques semblables aux cicatrices que des points de
suture laissent sur la peau. On y voit aussi divers types d'astronefs,
les uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup plus petits.
Il s'agit de cette base américano-soviéto-aliénigène dont nous
avons parlé. Le programme spatial n'est donc qu'une blague excessivement
coûteuse, et la solution 3 n'est pas de la science-fiction. Les
astronautes des missions Apollo l'ont appris à leur corps défendant.
Le choc qu'ils en ont éprouvé n'a pas été sans affecter leur vie,
comme en témoigne leur comportement par la suite, sans compter
qu'ils ont dû se soumettre à la dure réalité de la conspiration
du silence quand on leur ordonna de taire ce qu'ils avaient vu,
sans quoi ils s'exposaient à "la procédure expéditive". Un des
astronautes osa tout de même collaborer avec les producteurs britanniques
de chez TV expos de l'émission "Solution 3" en corroborant plusieurs
de leurs allégations lors d'un documentaire non fictif diffusé
dans un programme intitulé " Rapport scientifique ". Les auteurs
du livre intitulé Solution 003 parlent de cet astronaute en ayant
soin de lui donner un pseudonyme, celui de "Bob Grodin" (le véritable
Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins et fait partie de la couverture
de l 'assassinat de Kennedy). Ils relatent aussi que cet astronaute
se serait suicidé en 1978. Or, je n'ai trouvé aucune source pour
confirmer cette information. Je suis porté à croire que certains
faits de ce livre sont de la véritable désinformation , suite
à des pressions exercées sur les auteurs en vue d'empêcher l'impact
qu'aurait pu susciter dans la population l'émission britannique.
Les quartiers généraux de la conspiration internationale, sont
à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3 comités
constitués de 13 membres chacun, et les 3 comités ensembles réunissent
donc un total de 39 membres du comité exécutif du corps connu
sous le nom de groupe Bilderberg. Le plus important et puissant
des 3 comités est le comité des politiques. (Il est des plus intéressants
de remarquer que les Etats-Unis avaient originellement 13 colonies
et que 39 délégués de ces colonies ont signé la constitution après
qu'elle ait été écrite et adoptée lors de la première convention
constitutionnelle. Pensez-vous que cela soit un hasard ?). Les
rencontres du comité des politiques ont lieu dans un sous-marin
nucléaire sous la calotte glaciaire polaire. Un sous-marin soviétique
et un sous-marin américain se rejoignent par un sas et la rencontre
se déroule. Le secret est tel que c'était le seul moyen qui pourrait
permettre à ces rencontres de ne pas être clandestinement surveillées.
Quoi qu'il en soit, à ma connaissance et selon mes sources, le
contenu de ce livre est fondé à 70%. Je pense que cette désinformation
était un essai pour discréditer la télévision britannique TV expos
avec de l'information qui pourrait être prouvée comme étant fausse,
tout comme on l'avait fait aux Etats-Unis quand Eisenhower avait
émis tout un "document de directives" pour mousser le plan d'urgence
MAJESTIC-12, alors que celui-ci n'était en définitive qu'un simulacre
pour couvrir le vrai MJ-12, et que là aussi la chose pouvait être
prouvée comme étant fausse. Depuis que nous avons commencé à pactiser
avec les aliénigènes gènes, nous avons acquis une technologie
qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons
et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravité
alimentés à l'énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des
voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la
Lune, Mars et d'autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie
nature de la Lune, des planètes Mars et Venus, et de l'état réel
de la technologie que nous possédons aujourd'hui, à ce moment
même. Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie
végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les saisons,
car il y a aussi des saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous
présente pas toujours exactement la même face, comme on le pense
généralement [NDT: c'est le mouvement de précession de la Lune,
qui la fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant
un peu plus des bords de sa face visible]. Il y a aussi des lacs
artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages
ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique
lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes
doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation analogue
à celle des plongeurs de profondeur. Cette pression est néanmoins
suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une
combinaison spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune,
ils peuvent se maintenir à sa surface, munis simplement d'une
bouteille d'oxygène comme des hommes-grenouilles. J'ai personnellement
des photographies officielles de la NASA à ce sujet. Quelque unes
sont publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered
Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the Moon. En
1969, un confrontation eu lieu entre les soviétiques et les américains
sur la base lunaire. Les soviétiques ont essayé de prendre le
contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et
le personnel en otage. Nous avons pu restaurer l'ordre après pas
moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu leur programme
pendant une période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation
et nous avons recommencé à agir ensemble. Aujourd'hui l'alliance
continue. Le scénario de confrontation dans la base souterraine
de la mésa Archuleta est une pure désinformation élaborée pour
rendre la situation encore plus confuse. Je savais qu'une confrontation
avait eu lieu mais je ne m'en rappelais plus les détails. John
Lear avait fini par me convaincre que les aliénigènes et les forces
delta s'étaient battus à la base d'Archuleta. (Le Nouvel Ordre
Mondial doit avoir un ennemi provenant d'outre-espace). Plus tard,
j'ai pratiqué la régression hypnotique pour améliorer ma mémoire
et les véritables faits ont émergé. A ma connaissance, la seule
hostilité qu'il y ait eu entre aliénigènes et humain a été provoqué
par les militaires américains lorsqu'ils ont ordonné que l'on
tire sur les O.V.N.I pour capturer leur technologie. John Lear
dit aussi que nous avons inventé le SIDA pour tuer les aliénigènes
" suceurs de sang " et que nous ne sommes que des containers pour
âme. Ceci est foutaise ! C'est clairement une prise de position
pour la théorie selon laquelle " les aliénigènes n'existent pas
". Quand le scandale du Watergate éclata, le président Nixon demeura
confiant de s'en tirer sans accusation, car il ne s'estimait coupable
d'aucune malversation. Or, tel n'était pas le cas de Majesty douze.
Dans les milieux du renseignement, on conjectura avec raison que,
s'il devait y avoir procès, les enquêteurs commenceraient par
fouiller dans leurs dossiers compromettants et finiraient par
en étaler les terribles secrets sur la place publique. Ils ordonnèrent
donc à Nixon de résigner son mandat. Son refus donna lieu au premier
coup d'Etat à jamais avoir été mené par des militaires américains
contre leur propre président. L'état major de la Défense nationale
émit un message ultra-secret à tous les officiers supérieurs des
Forces armées américaines dans le monde entier, disant ceci: "Dès
réception du présent message, vous ne devrez plus exécuter aucun
ordre émanant de la Maison blanche. Veuillez accuser réception.".
Ce message a été transmis 5 bons jours avant que Nixon ne cède
et n'annonce publiquement sa résignation. J'ai moi-même tenu en
main ce message et, quand j'ai demandé à mon commandant ce qu'il
comptait faire, sachant très bien que cet ordre violait la Constitution,
il m'a répondu laconiquement: " Je pense bien que le mieux à faire
est d'attendre de voir si la Maison blanche émettra des ordres,
auquel cas j'aviserai". Je n'ai vu aucun communiqué de la Maison
blanche, mais cela ne signifie pas pour autant qu'elle n'en ait
pas envoyé. J'en ai eu confirmation par 3 autres sources, toutes
ex-militaires, qui ont écrit ou appelé pour déclarer qu'ils avaient
vu exactement le même ordre. Ces gens sont Randall Terpstra, ex
de la Marine, David Race, ex de l'armée de l'air ; et Donald Campbell,
ex de la Marine. La transcription d'une conversation téléphonique
entre l'auteur et Mr Terpstra est présentée à la fin de ce livret
et les déclarations signées des autres aussi. On dirait que, durant
toutes les années où ces événements ont eu lieu, le Congrès et
la nation américaine savaient d'instinct que quelque chose ne
tournait pas rond dans les affaires de l'Etat. Aussi, quand le
scandale du Watergate a fait irruption, tout le monde a emboîté
le pas au mouvement de nettoyage qui semblait s'annoncer à l'égard
des agences de renseignement. Le président Ford commanda une commission
à Rockefeller pour faire enquête sur les activités des agences
de renseignements. Voilà, du moins, ce à quoi les gens s'attendaient
. Son but véritable était de barrer la route au congrès et de
garder les activités bien cachées. Le président de cette commission
était ce même Nelson Rockefeller, membre du Conseil des relations
étrangères, qui avait aidé Eisenhower à répartir les pouvoirs
de Majesty douze. Il divulgua juste assez d'éléments pour garder
la meute aux abois. Il lança quelques os aux membres du Congrès
en prenant soin d'éliminer les plus gênants parmi ces derniers,
et les conjurés en sortirent intacts comme ils l'avaient toujours
fait. Plus tard, ce fut au tour du sénateur Church de diriger
les célèbres audiences qui portent son nom. Lui aussi membre éminent
du Conseil des relations étrangères, il ne fit que poursuivre
la tactique de Rockefeller au profit de la conspiration. Quand
l'affaire des contrebandiers de l'Iran a émergé, on crut bien,
cette fois, que le chat sortirait du sac. Hélas! on nous fit encore
mordre la poussière. En dépit des montagnes de documents qui dénonçaient
le trafic des stupéfiants et autres horreurs du même genre, les
conspirateurs réussirent à se faufiler allègrement. Comme mentionné
auparavant, un des faits les plus sérieux qui ont été découverts,
est que le Nord préparait un plan pour suspendre la constitution
des U.S.A. . Quand le sénateur au congrès Jack Brooks du Texas
a essayé de sonder la situation, il a été ordonné au silence par
le président du Comité. Se pourrait-il que le congrès connaisse
toute la situation et ne veuille rien faire ? Sont-ils de ceux
qui sont sélectionnés pour aller dans la colonie sur Mars quand
la Terre commencera sa destruction, SI la Terre est en train de
se détruire ? La CIA, la NSA et le Conseil des relations étrangères
contrôlent des monopoles financiers qui dépassent tout ce qu'on
peut imaginer. Ils ont érigé leur empire à même les cartels de
la drogue et leurs entreprises de spéculation. Ils ont accumulé
une fortune démesurée à partir de leurs activités illicites, et
ils profitent maintenant, sous la protection même de la loi, de
leurs placements dans d'immenses réseaux de sociétés de gestion
et d'institutions bancaires. Je ne les connais évidemment pas
toutes, mais j'aimerais attirer votre attention sur l'entreprise
bancaire J. Henry Schroder, la compagnie Schroder Trust, la Schroders
Ltd. (à Londres), la société de gestion Helbert Wagg Ltd., la
J. Henry Schroder Wagg & Co. Ltd., la Schroder Gerbruder et compagnie
(en Allemagne), la Schroder Munchmeyer Gengst et compagnie, la
banque Castle et ses compagnies de gestion, la banque de développement
Asiatique, et les pieuvres de compagnies de gestion et de compagnies
bancaires de Nugan Hand. Un plan d'urgence a été élaboré par Majesty
douze à seule fin d'induire en erreur tous ceux qui tentaient
de cerner la vérité. C'est ce plan qui porte le nom de MAJESTIC
TWELVE. Sa première opération consista à mandater Moore, Shandera
et Friedman de divulguer le soi-disant authentique "document de
directives" d'Eisenhower! Mais ce document n'est qu'une fraude,
et les grossières bavures dont il est rempli ne font que nous
le confirmer. Par exemple, le décret présidentiel auquel il fait
allusion porterait le numéro 092447. Or, ce numéro n'est pas près
de figurer sur la véritable liste puisque tous les décrets de
l'administration sont numérotés à la suite, sans égard aux divers
présidents qui les promulguent. Ainsi, les décrets signés par
Truman figurent, pour la plupart, dans la série 9000, par Eisenhower
dans la 10 000, par Ford dans la 11 000 et, quant à Reagan, il
n'a guère dépassé le numéro 12 000. Depuis des années, ce plan
a vraiment réussi à leurrer les chercheurs en les orientant sur
de fausses pistes et à leur faire dépenser temps et argent à prendre
des vessies pour des lanternes. Le Fond de recherche en ovniologie
basé à Washington D.C. et dirigé par Bruce Maccabee a commis ce
que je crois être une fraude criminelle en relation avec le document
de directives d'Eisenhower, Stanton Friedman, et l 'équipe de
recherche de Moore Shandera et Friedman. Maccabee a sollicité
des finances de la part du public, en promettant de les utiliser
pour enquêter sur les déclarations de Moore, Shandera et Friedman
et prouver que le " document de directive " d'Eisenhower est vrai
ou faux. Au lieu de cela, il a donné les 16000$ récoltés en entier
à Stanton Friedman et lui a confié à LUI la tache de confirmer
ou d'infirmer ses propres dires. Quel travail difficile ! La communauté
ovniologique a senti l'arnaque et attendu les découvertes de Stanton
Friedman avec empressement. Bien sûr, Friedman a trouvé que ces
documents étaient authentiques. C'est juste ce que les gens pensaient
qu'il trouverait, non ? Il lui a été donné 16000$ pour enquêter
lui-même. C'est en dehors de toute éthique. C'est là un clair
conflit d' intérêt. Je pense sincèrement que cela a été une fraude
criminelle, parce que de l'argent a été mis en jeu. Ceux qui ont
donné leur argent en toute bonne foi devraient immédiatement engager
des poursuites contre Stanton Friedman, Bruce Maccabee, et le
financement pour la recherche O.V.N.I. . Cette farce a eu pour
résultat le gaspillage total de 16000$. Plusieurs centaines d'heures
ont été gaspillées à poursuivre un fantôme. Croyez-moi, si vous
doutez de la capacité qu'a le gouvernement à vous illusionner,
vous feriez mieux d'y repenser. Un autre plan d'urgence est actuellement
en cours, et c'est vous qui en êtes la cible. On vous prépare,
en effet, à une éventuelle confrontation avec les aliénigènes.
Cela pourrait aussi avoir pour but de vous faire croire en l'
existence d'une race extranéenne qui n'existe pas. On vous bombarde
de livres, de films, d'émissions qui vous dépeignent à peu près
tous les aspects de leur nature, bons ou mauvais, et la véritable
raison pour laquelle ils sont ici. Observez bien et vous allez
remarquer de quelle manière votre gouvernement vous y prépare
peu à peu, de façon à éviter que vous ne soyez pris de panique
lorsque les aliénigènes se manifesteront enfin au grand jour.
Le nombre sans précédent d'observations d'O.V.N.I. à travers le
monde indique que cette révélation publique n'est pas trop loin.
Jamais dans l'histoire il n'y a eu autant d'incidents impliquant
les O.V.N.I. et jamais dans l'histoire il n'y a eu autant de reconnaissance
publique de la chose. La population fait aussi l'objet de nombreuses
autres manigances, beaucoup plus scandaleuses, dont celle qui
consiste, depuis des années, à importer des stupéfiants pour les
lui revendre au prix fort, et ce, surtout aux citoyens qui n'en
ont pas les moyens. Les programmes d'aide sociale ont été mis
en place pour que, dans un premier temps, le désoeuvrement crée
chez une certaine catégorie d'individus une totale dépendance
vis-à-vis de l'Etat. Puis, dans un second temps, les allocations
leur sont peu à peu retirées de façon à donner naissance à une
classe criminelle, qui n'existait pas comme telle dans les années
50 et au début des années 60. Ce plan d'urgence encourage la fabrication
et l'importation d'armes automatiques pour que cette classe soit
portée à s'en servir, et tout cela dans le but de provoquer un
sentiment d'insécurité tel que les américains appuient volontiers
les projets de loi qui s'opposent au port d'arme à feu. Des spécialistes
de la CIA ont recours à un procédé qu'ils appellent ORION selon
lequel ils administrent des stupéfiants à un sujet affecté de
troubles mentaux, puis lui suggèrent, sous hypnose, l'obsession
de tirer des coups de feu, par exemple dans une cour d'école bondée
d'étudiants. Ce plan contribue à faire avancer la cause des adversaires
du port d'arme, laquelle, au demeurant, enregistre actuellement
certains progrès. Ce plan est en très bon chemin et jusque là
a parfaitement fonctionné. La classe moyenne demande au gouvernement
l'abolition du 2nd amendement [NDT: c'est, aux U.S.A. , le droit
qu'a chaque citoyen de posséder une arme]. Remarque de l'auteur
: j'ai trouvé que ces événements avaient effectivement eu lieu
dans tout le pays. Dans chaque cas pour lequel j'ai enquêté -
l' incident à l'école pour femme du Canada, l'incident du centre
commercial au Canada, le Stockto, en Californie, où eu lieu un
massacre, et le meurtre du Rabbi Meir Kahane - les tueurs étaient
tous d'ex-patients mentalement dérangés ou étaient actuellement
des patients mentalement dérangés qui étaient TOUS SOUS TRAITEMENT
DU MEDICAMENT PROZAC ! Ce médicament, lorsqu'il est pris à certaines
doses, accroît le taux de sérotonine du patient, engendrant une
violence extrême. Couplez avec cela une suggestion posthypnotique
ou un contrôle à travers un implant électronique dans le cerveau
ou des micro-ondes ou une intrusion E.L.F. et vous obtenez un
meurtre de masse, se terminant à chaque fois par le suicide du
tireur fou. Exhumez les corps des meurtriers et vérifiez si ils
n'ont pas d'implants dans le cerveau. Je pense que vous allez
être surpris. A chaque fois, il a nous été refusé de connaître
le nom du médecin du meurtrier ou de son centre de traitement
psychiatrique. Je crois que nous serons capable d'établir des
connections avec des ensembles de service de renseignements et/ou
des connections avec des expériences connues de programmes d'expérimentation
de contrôle de l'esprit de la CIA , lorsque nous découvrirons
à la fin qui sont vraiment ces docteurs de la mort. Ces gens vont
prétexter de la vague de criminalité qui déferle sur le continent
pour convaincre la population que l'anarchie règne dans les grandes
villes. Ils nous harcèlent à ce sujet presque quotidiennement,
le jour dans les journaux et le soir à la télévision. Lorsque
l'opinion publique sera complètement gagnée à cette idée, ils
vont annoncer qu'un groupe terroriste, armé d'un dispositif nucléaire,
s'est infiltré au pays avec l'intention de faire sauter l'une
de ces villes (ceci est en train de se mettre en place avec la
crise du Moyent-Orient). Le gouvernement, envers et contre la
Constitution, en profitera alors pour imposer la loi martiale
et s'emparer de tous les dissidents, autrement dit les gêneurs,
ainsi que de tous les individus à qui les aliénigènes ont déjà
greffé un implant. Ces personnes seront ensuite internées dans
des camps de concentration qui existent déjà, lesquels occupent
des terrains d'environ trois kilomètres carrés. Qui sait si ces
opprimés ne constituent pas le corps des réservistes [NDT: marchandise]
que les agresseurs destinent à l'esclavage dans leurs colonies
spatiales? Après avoir saisi les médias d'information et les banques
de données informatiques, les gouvernants les nationaliseront,
et toute personne qui tentera de leur résister sera séquestrée
ou abattue. Le gouvernement et l'armée ont déjà procédé, en 1984,
à des manoeuvres de répétition enregistrées sous le nom de code
REX-84, et celles-ci ont parfaitement fonctionné. La prochaine
fois, ce ne sera pas un exercice, et le gouvernement secret, avec
ou sans les aliénigènes, prendra le pouvoir absolu. Dès lors,
soyez prêts à renoncer à vos droits et libertés et préparez-vous
à vivre dans la servitude pendant le reste de vos jours. Si ce
n'est pas ce que vous souhaitez, il est grandement temps de vous
réveiller et de réagir. Entre 1970 et 1973, il m'a été donné de
voir des documents confirmant que Phil Klass est un agent de la
CIA. En tant qu'expert en aéronautique, il avait pour fonction,
entre autres, de déboulonner tout ce qui se rapportait au phénomène
ovni. Il agissait à titre de personne-ressource auprès des chefs
militaires, qui avaient reçu la directive de recourir à Klass
pour apprendre à utiliser ses techniques de dénigrement dans les
cas où la presse et le public les interrogeraient sur le bien-fondé
des phénomènes rapportés par des contactés ou des témoins oculaires.
Plusieurs personnes semblent aimer Klass. Elles l'encouragent
et font grandement attention à ce qu'il fait. Il est invité pour
parler événements ovniologiques et est cité dans les journaux,
les livres et les revues comme étant l'expert de " ce qui s' est
réellement passé ". Philip Klass n'agit pas au mieux de nos intérêts.
Ses dénigrements et explications des observations d'O.V.N.I. sont
si parsemés de trous qu'un enfant de 6 ans serait capable de discerner
son véritable but. J'ai vu des personnes énormément induites en
erreur, rechercher un autographe de Klass, acte semblable en magnificence
à celui qu'Elliot Ness ferait en demandant son autographe à Al
Capone. J'ai découvert que dans plusieurs circonstances les gouvernants
secrets avaient parfaitement raison lorsqu'ils disaient que "
des gens qui n'utiliseraient pas leur intelligence ne seraient
pas meilleurs que des animaux qui n'ont pas d'intelligence. De
telles personnes sont des bêtes de somme ou des beefsteack par
choix et par consentement " (citation de " armes silencieuses
pour des guerres sans bruit "). Nous obtenons, dans certaines
circonstances, exactement ce que nous méritons. William Moore,
Jaimie Shandera et Stanton Friedman, (sciemment, en toute connaissance
de cause et avec consentement), oeuvrent tous trois pour le compte
du gouvernement secret. William Moore a été vu utilisant une carte
d' identité du service d'investigation pour la défense et de sa
propre confession à Lee Graham, il a confirmé être un agent du
gouvernement (Lee Graham m'a téléphoné chez moi, et quand je le
lui ai demandé, m'a confirmé que Moore lui avait vraiment montré
une carte d'identité du Service d' investigation pour la défense).
Une confession ultérieure de Moore le prouve à nouveau sans aucun
doute. Remarque de l'auteur : Le 1er Juillet 1989, la nuit précédent
celle où j'ai présenté ce document au symposium du M.U.F.O.N.
à Las Vegas, William Moore a admis qu'il était un agent du gouvernement,
qu'il avait livré de la désinformation aux chercheurs, qu'il avait
falsifié des documents, qu'il avait espionné les chercheurs et
rapporté les informations recueillies sur ces chercheurs à la
communauté des agences de renseignement, qu'il avait pris part
à une opération de contre-espionnage contre Paul Bennewicz qui
s' était conclue par l'internement de ce dernier dans un institut
psychiatrique, et qu'il avait fait tout ceci en pleine connaissance
de cause. Il est soit un traître, soit un des plus grands manipulateurs
au cour de pierre. Quelques uns des auto- proclamés " ovniologues
" estiment encore Moore et citent encore ses recherches dans leurs
correspondances, leurs revues, et leurs livres. Ceci reflète un
certain degré d'ignorance et de stupidité dans la communauté O.V.N.I.
. Bruce Maccabee a écrit une lettre au Caveat Emptor, citant des
articles de la publication de William Moore, Focus, comme preuve
que je suis discrédité. Tout cela n'est que rêve. Il n'y a aucun
mystère pour moi à la raison pour laquelle l'Amérique traditionnelle
appelle les ovniologues des imbéciles et des foldingues : c'est
que dans certains cas ils le sont. Jaimie Shandera est l'homme
responsable de la perte de mon emploi de Directeur exécutif du
Collège Technique National. Peu après que mon poste ait été publiquement
connu, Shandera est arrivé au Collège, portant un complet marron
et un porte-documents. Il a ignoré la tentative de la réceptionniste
pour l'aider. Elle m'a informée qu'un homme avait traversé le
collège et semblait inspecter le bâtiment et les salles de classe.
J'ai trouvé Mr Shandera scrutant de son regard la classe en pleine
activité. Je lui ai demandé si je pouvais l'aider en quoi que
ce soit. Il m'a dit non et m'a ignoré. Je lui ai expliqué que
j'étais le directeur exécutif et lui ai demandé à nouveau si je
pouvais l'aider en quoi que ce soit. Il m'a à nouveau répondu
non, mais m'a jeté des regards noirs et semblait sur ses gardes.
Il semblait être extrêmement nerveux et a immédiatement quitté
le bâtiment. Je l'ai suivi jusqu'à la porte à l'extérieur, et
un homme traversant la rue a pris une photo de moi avec un appareil
de 35 mm. Je regardais Jaimie Shandera marcher vers sa voiture,
et il m'a jeté un dernier regard puis est reparti en voiture.
Quelques jours après, il a répété son manège, mais cette fois
il m'a dit qu'il avait vu une petite annonce qui disait que le
collège était à vendre et qu'il était venu visiter la propriété.
Je l'ai revu encore, sortant des bureaux du service administratif.
Quand il me vit, il devint à nouveau extrêmement nerveux et s
'est précipité dans sa voiture, a enlevé sa veste avant d'entrer
dedans et s 'est en allé. Quelques minutes plus tard, j'ai été
appelé au bureau du président et là, on m'a dit que le collège
ne pouvait employer quelqu'un qui compromettrait son statut d'assisté
par le gouvernement en étant impliqué dans des affaires de soucoupes
volantes. Je savais ce qui allait arriver et j'ai présenté ma
démission le 15 avril 1989. Je n'avais pas l'intention d' arrêter
mes activités et je ne voulais pas handicaper le collège ou les
étudiants qui dépendaient autant des programmes d'aide gouvernementaux.
Pendant tout ce temps là, Shandera a cru qu'il avait réussi son
opération de manière anonyme, mais moi et plusieurs autres avons
toujours su que c'était lui. Maintenant, vous le savez aussi.
Jaimie Shandera a été formellement identifié par moi, le haut
du Département de sécurité, et la réceptionniste. Plus tard, j'en
ai obtenu une autre identification formelle par le Vice Président
en charge des admissions. John Lear était à cette époque la seule
personne qui connaissait le nom et l' adresse du lieu de mon emploi.
J'ai plus tard découvert par analyse comparative des proportions
du corps et par analyse vocale graphique que John Lear est l'agent
appelé " Condor " de la production TV intitulée " UFO Cover-up
live ", basée sur des données de la CIA . Comme Condor, il est
en réalité un agent du gouvernement qui a travaillé avec Moore,
Shandera, Friedman, John Grace, Bob Lazar, et d'autres encore.
Ils sont tous de la CIA . Quant à Stanton Friedman, il a raconté
à plusieurs ainsi qu'à moi-même avoir participé, il y a un certain
nombre d'années, "au développement d'un réacteur nucléaire pas
plus gros qu'un ballon de basket-ball, destiné à propulser un
avion et fonctionnant à l'hydrogène, donc non polluant...et qui
roulait comme un charme! " ( Ce sont ses propres paroles). Plusieurs
autres personnes m'ont écrit pour me dire qu'il leur avait été
dit la même chose par Mr Friedman. Roger Scherrer est l'un de
ceux à qui Stanton a raconté la même histoire. Cependant, le seul
carburant qui puisse libérer de l'hydrogène au cours de la réaction
dont il est question ici, c'est l'eau. Or, cette façon d'associer
l'eau à la production d'énergie nucléaire correspond exactement
au mode de propulsion d'au moins un type d'astronef aliénigène,
selon la documentation que j'ai lue lorsque j'appartenais aux
services de renseignements de la Marine. Stanton Friedman l'ignorait-il?
Je n'en sais rien, mais c'est tout de même étrange que ce soit
l'équipe qu'il formait avec Moore et Shandera qui ait été chargée
d'exécuter le plan d'urgence de Majestic 12! Dans les documents
que j'ai lus entre 1970 et 1973, il y avait une liste de noms
correspondant aux personnalités les mieux désignées pour le recrutement
puisqu'elles étaient capables de convaincre, en utilisant le patriotisme
comme force de conviction aussi souvent que possible. Si nécessaire,
une assistante financière serait fournie grâce à l'emploi d'une
compagnie de propriétaire de couverture ou grâce à des bourses.
C'est, par coïncidence, la méthode par laquelle Friedman a obtenu
ses 16000$ d'un autre agent, Bruce Maccabee. Nous avons aussi
découvert que Moore avait reçu de l'argent pour la recherche d'au
moins 2 campagnies de couverture de la CIA Ceci a été confirmé
par la recherche de Grant Cameron. D'autres noms étaient cités
sur les listes en tant qu'agents clés actifs des services de renseignement.
Lorsque j'ai pour la première fois présenté ce document, je n'ai
donné qu' une liste partielle des personnes citées dans les documents
des renseignements de la Marine. Les personnes suivantes sont
celles dont je peux me souvenir les noms (il y en a beaucoup d'autres,
mais celles là sont tout ce dont je me souviens pour l'instant).
Stanton Friedman, de la CIA , John Lear , de la CIA (le père de
Lear a été cité comme ayant participé à la recherche sur l'antigravité)
; William Moore ; John Keel ; Charles Berlitz ; Bruce Maccabee,
de l'O.N.I. (bureau des renseignements de la marine) ; Linda Moulton
Howe ; Philip Klass, de la CIA ; James Mosely, de la CIA (le père
de Mosely a été mis en question de manière très flatteuse) ; Virgil
Armstrong de la CIA (listé comme Posthethwaite) ; Wendelle Stevens,
de la CIA , le professeur J.Allen Hyneck, de la CIA. C'est là
la liste dont je me souviens. Il peut y en avoir d'autre, mais
je ne m'en rappelle pas. Je connais d'autres agents qui eux n'étaient
pas sur la liste. Vous devez vous souvenir que lorsque j'ai pour
la première fois écrit ce document, j'avais pensé que Bruce Maccabee
ne devait pas avoir été recruté, mais plus tard il m'a donné tort
quand il a donné 16000$ à Stanton Friedman pour enquêter lui-même.
Il y avait un code en 2 mots que ces gens utilisaient pour s'identifier
entre eux. Le premier mot était un oiseau et le second mot était
une couleur. Le code était " aigle or ". Quand Stanton Friedman
m'a contacté la première fois, il a utilisé le code. Je lui ai
dit ne pas comprendre mais il m'a demandé plusieurs fois si j'avais
déjà vu ou entendu parler d'Aigle Or. John Lear m'a aussi demandé
si j'avais déjà entendu parler d'Aigle Or. Il me testait lui aussi.
Ils savaient que j'avais eu accès à la véritable information et
ils essayaient de déterminer si j'étais un des leurs. Comme George
Bush dirait, " lisez sur mes lèvres ". Je n'ai jamais été l'un
des vôtres. Je ne serai jamais l'un des vôtres.
Quand j'ai parlé à Stan Deyo en
Australie par téléphone, il m'a dit que le code qui lui était
assigné était " Faucon Bleu ". Stan était une victime d' expérimentation
sur le contrôle de l'esprit pendant qu'il était cadet à l' académie
de l'armée de l'air. Lui, et plus de 80 autres cadets sujets au
contrôle de l'esprit ont démissionné de l'académie en signe de
protestation. Il est parti en croisade pour découvrir la vérité
quelle qu'elle soit. Stan a écrit deux excellents livres, The
Cosmic Conspiracy, et The Vindicator Scrolls. Je vous recommande
de les lire tous les deux. Je pense que Linda Moulton Howe pourrait
être innocente de toute implication volontaire. Linda en particulier
semble avoir pris d'extrême précautions dans ce qu'elle a présenté
au public. Sa recherche est excellente. J'ai été impressionné
quand elle m'a confié que le Sergent Richard Doty de la division
du contre-espionnage du bureau de l'armée de l'air des investigations
spéciales l'avait emmené au bureau de renseignement à la base
aérienne de Kirtland au Nouveau Mexique et lui avait montré exactement
les mêmes documents que ceux que j'ai vu lorsque j'étais dans
la Marine. Elle a même vu la même information sur l'assassinat
de Kennedy, nommant Greer comme étant son assassin. Mme Howe est
aussi la seule personne étrangère au monde de la communauté des
services de renseignement qui connaît la vérité telle que je l'ai
connue, au regard de l'opération MAJORITE. Elle a fait preuve
de bon sens et de grande retenue en ne révélant PAS les contenus
de ces documents au public. C'est pour cette raison que je crois
que quelqu'un a essayé de l'utiliser. Bien heureusement, Linda
est loin d'être naïve et elle n'a pas joué le jeu. Je vous recommande
de lire son livre intitulé Alien Harvest. Vous pouvez, je pense,
le commander dans n'importe quelle bonne librairie [NDT: aux Etats-Unis
seulement, parce qu'en France...]. J'ai découvert que Whitley
Strieber est un homme de la CIA , de même que Budd Hopkins. Le
livre de Strieber, Majestic, l'en a rendu coupable pour ceux qui
savent ce qui s'est vraiment passé. C'est la véritable histoire
du crash de Roswell, trouvé dans les agendas mis sous séquestres
de James Forrestal, en se basant sur le fait que les documents
que j'ai vu à la Marine n'étaient pas des faux, et je ne pense
pas qu'ils le soient. Les noms des gens et les noms des projets
et des opérations ont été changés dans le livre de Strieber, mais
tout le reste de l'information et de la documentation est vraie.
Les rapports d'autopsie sont exactement les mêmes que ceux que
j'ai vu dans le projet GRUDGE, il y a de cela 18 ans. Je suis
récemment entré en possession d'une déclaration par écrit et sous
serment d' un MD de New York qui est signée, authentifiée, et
assermentée sous la peine encourue quand on fait un faux témoignage,
déclarant que ce MD a été recruté par un agent de la CIA nommé
Budd Hopkins pour l'aider dans son travail avec les kidnappés,
pour le compte de la CIA. Cette déclaration écrite figure dans
l'appendice de ce document. Je savais que Hopkins avait quelque
chose qui clochait quand je l'ai rencontré à Modesto. Il ne pouvait
pas me regarder dans les yeux , et quiconque ne peut pas me regarder
dans les yeux à quelque chose à se reprocher. Il a passé tout
le temps, en y incluant son speech, à essayer de convaincre les
gens de l'innocence de l'expérience d' être kidnappé et de l'absence
de mauvaises intentions des aliénigènes, ce qui est un tissu de
bêtise. C'était là une insulte pour quiconque ayant enquêté sur
les kidnappés. Je sais que toutes les organisations de recherche
sur les O.V.N.I. ont été la cible d'infiltration et de contrôle
par le gouvernement secret, de la même manière que le N.I.C.A.P.
a été infiltré et contrôlé. En fait, le N.I.C.A.P. , a fini par
se détruire de l'intérieur. Je sais que ces efforts ont été fructueux.
M.U.F.O.N. en est un merveilleux exemple. Des centaines de membres
tout autour du monde conduisent des enquêtes et envoient des preuves
physiques aux quartiers généraux du M.U.F.O.N. , où les preuves
disparaissent rapidement. Tout le monde clame les traces physiques
comme preuve. Récemment des échantillons de liquide ont été prélevés,
échantillons qui avaient suinté d'une soucoupe dans une cour d'école
dans le golfe Breeze , en Floride. Les échantillons ont été envoyés
au M.U.F.O.N. ,où ils ont immédiatement disparus, ce qu'Andrus
a déploré comme étant un accident. BETISES ! Ce n'est pas la première
fois que le M.U.F.O.N. a " perdu " une preuve. Je considère que
le M.U.F.O.N. est le grand trou noir de la communauté O.V.N.I.
. Le contrôle de l'information est si serré que rien n' en échappe.
Quiconque dit ce qu'il en est vraiment, est déboulonné et tenu
à l'écart des symposiums. On dit aux membres quoi croire et quoi
ne pas croire. Les membres ne semblent pas savoir qu'ils sont
sous contrôle. Les membres du bureau des directeurs du M.U.F.O.N.
et les membres du bureau de conseil des consultants sont pour
la plupart soutenus par le gouvernement sous la forme de salaires
, de dons, de chèques de retraites. Qui peut croire que cela ne
constitue pas un conflit d'intérêt ? Qui peut dévoiler et enquêter
sur les mains qui le nourrit ? Comment pouvez-vous possiblement
croire que le gouvernement ne pourrait pas contrôler les gens
à qui il fournit de l'argent ? L'ARGENT EST LA METHODE FONDAMENTALE
DE CONTROLE. Les plus grandes publications O.V.N.I. sont sans
aucun doute contrôlées et sont très probablement, comme dans le
cas de la revue O.V.N.I., financièrement soutenues et contrôlées
par la CIA Vicki Cooper (aucun rapport avec moi), l'éditeur et
le propriétaire de O.V.N.I., a raconté à ses amis et ses proches
que pendant au moins deux ans, la CIA a fait pression sur son
magazine. Ron Rogehn et Lee Graham, se souviennent de l'été 1988
où Vicki les a interviewé à la résidence de Mr Graham, à Huntington
Beach. Après que l'interview se soit terminée, Vicki Cooper s'est
dirigée vers sa voiture, s'est retournée et a mystérieusement
crié : " vous savez, mon magasine pourrait être financé par la
CIA ". J'ai parlé à des amis et à des connaissances de Mme Cooper
qui m'ont juré qu 'elle avait affirmé à plusieurs reprises que
" la CIA contrôle le magasine O.V.N.I. ". L'oncle de Vicki Cooper,
Grant Cooper, était l'avocat de Sirhan, qui n'a même pas essayé
de défendre son client. Il était important pour le gouvernement
secret et la CIA que Sirhan soit désigné comme étant " le seul
assassin ". Grant Cooper a des liens considérables avec la CIA
et le groupe de Johnny Rosselli. Nous avons découvert que le fils
de Vicki est allé à l'académie Militaire du West Point. Quel superbe
moyen de contrôler un magasine ! " si vous ne jouez pas le jeu,
vous n'aurez pas le diplôme ". J'ai découvert que la personne
qui a trouvé un appartement à Vicki Cooper lorsqu'elle est arrivée
à Los Angeles est Barry Taff, un employé de longue date des services
de renseignements (oui, au pluriel) et protégé de longue date
du professeur John Lilly et du professeur J.West, le premier expert
du gouvernement dans la manipulation de l'esprit. Ces hommes ont
été impliqué dans la plus terrible expérimentation jamais mise
en ouvre pour le contrôle total des individus. Je pense que ce
n'est pas une coïncidence innocente si l' appartement de Taff
est directement au dessus de celui de Vicki. Tout cela m 'a été
confirmé de manière indépendante dans une lettre écrite par Mr
Martin Cannon, un chercheur de Los Angeles. La lettre peut être
trouvée dans l' appendice. La preuve la plus accablante du contrôle
du magasine O.V.N.I. et de Vicki Cooper vient de Don Ecker. A
la conférence du M.U.F.O.N. de 1989, Don Ecker a fait preuve de
si peu d'inhibition qu'il a pu relater l'histoire suivante à moi
et à deux autres. Selon Don Ecker, Vicki Cooper travaillait pour
l'infâme Madame Mayflower. Les fédéraux essayaient d'attraper
Madame et ont trouvé Vicki. Mme Cooper a été arrêtée et menacée
de passer le reste de sa vie en prison si elle ne coopérait pas.
Vicki s'est retournée selon Ecker, et a donné son employeur. Depuis
que Vicki avait apparemment eu quelque chose à voir avec l'opération
de comptabilité, elle est devenue un témoin clé. La société Madame
Mayflower a été fermée et mise en prison grâce au témoignage de
Mme Cooper. C'est selon Don Ecker, ce qui s'est passé, si il a
dit la vérité. Nous n'avons aucune raison de croire qu'il mentait.
Je ne sais pas pourquoi Don Ecker nous l'a dit. Peut-être qu'il
n'aime pas Vicki, ou peut être que lui aussi comme Lear et Friedman,
a cru que j'étais un des leurs (ce sera une journée très froide
en enfer). Selon Ecker, il a été dit à Vicki Cooper de quitter
la ville et d'en rester dehors. Il lui a été donné de l'argent
et il lui a été dit de créer le magasine O.V.N.I. à Los Angeles.
Il lui a été dit qu'elle devait imprimer des informations qui
lui seraient fournies. Bien sûr, vous lisez dans O.V.N.I. des
informations sur les O.V.N.I. soi-disant provenant de fuites du
gouvernement, toujours écrites par quelqu'un qui ne peut pas être
contacté. C'est toujours écrit sous un pseudonyme et personne
ne peut vérifier l' information. Vicki est intransigeante sur
le choix des nouvelles et des informations à imprimer, en fonction
de ce qu'elle considère être le mieux pour ses lecteurs, comme
si ils n'avaient pas de cerveau pour y réfléchir par eux-mêmes.
Elle s'adonne à la calomnie. Don Ecker clame avoir été un membre
des renseignements militaires, les Bérets Verts, et plus tard
officier de police à Boise, dans l'Idaho. Don dit avoir eu un
total de 10 ans d'expérience en tant qu'enquêteur à la criminelle.
Le département de police de Boise a dénié, lorsqu'on le lui a
demandé par téléphone, avoir eu connaissance de Mr Ecker. J'ai
demandé à Don de fournir une copie de ses registres de service
de l'armée, mais il a refusé. Ecker se donne lui-même le nom d'expert
O.V.N.I. et s'est affublé lui-même (oui, vous l'aviez deviné)
du titre d' "ovniologue ". Il soupoudre ses articles de mots comme
" ovniologique ", et ne sait pas le moins du monde ce que cela
signifie. Il confirme la plupart des informations que j'ai divulguées
quand il parle à des groupes de personnes. Il a fourni des bases
de données avec une quantité monstrueuse de fichiers qui confirment
tout ce que j'ai pu dire. Ecker les a probablement fabriqués lui-même,
puisqu'ils sont tous anonymes. Il dit que les aliénigènes mutilent
les humains comme du bétail. Don Ecker, de même que Vicki Cooper,
pratique la calomnie. Selon des sources légitimes de responsables
policiers, Ecker ment au public. Il a été gardien à la prison
d'état de l'Idaho de Septembre 1981 à Septembre 1982, quand il
a quitté ce poste pour devenir un stagiaire adjoint au département
des narcotiques du Sheriff du comté de Canyon. Donald Francis
Ecker II a été licencié après seulement six semaines pour " mauvaise
conduite ". Mr Ecker est retourné à la prison d'état de l'Idaho
où il a été employé comme gardien jusqu'à Juillet 1987, où il
a perdu sa jambe gauche dans un accident de tir au fusil pendant
un exercice d'entraînement. Des sources révèlent aussi que Donald
Francis Ecker II est un fugitif devant la justice. Les autorités
de l'Idaho possèdent plusieurs mandats d'arrêts concernant Mr
Ecker. Vous devez comprendre que le gouvernement ne permettra
à personne ou à aucun groupe de personnes de mettre au grand jour
le secret le plus hautement classifié au monde- si il peut l'en
empêcher. Il aura toujours à sa disposition des agents pour contrôler
les groupes, les publications, et les informations relatifs aux
O.V.N.I. . Si les aliénigènes n'étaient pas réels et que toute
l'histoire se révélait être le plus grand canular ayant jamais
été monté, qui pensez-vous, au juste, aurait comploté tout cela
? Si l'histoire cachée est vraie, tout au long de l'Histoire,
les aliénigènes n'ont cessé de manipuler et de régenter l'humanité
par le biais de diverses sociétés secrètes, de l'occultisme, de
la magie, de la sorcellerie et de la religion. Le Conseil des
relations étrangères et la Commission trilatérale maîtrisent parfaitement
la technologie extranéenne et exercent un contrôle absolu sur
l'économie nationale. Eisenhower fut le dernier président à avoir
une vue d'ensemble du dossier extranéen. Tous les présidents qui
lui ont succédé n'en ont su que les seuls éléments que Majesty
douze et les services de renseignements voulaient bien leur laisser
savoir et, croyez-moi, c'était loin d'être la vérité. A la plupart
des nouveaux présidents, Majesty douze donnait des aliénigènes
l'image d'une civilisation perdue qui ne cherchait qu'à nous gratifier
de dons technologiques en gage de remerciement pour leur avoir
permis d'installer leurs quartiers sur notre planète et de renaître
ainsi de leurs cendres. Dans certains cas, le Président n'en a
rien su. Les présidents ont gobé cette histoire à tour de rôle
ou n'ont tout simplement rien su. Et, depuis tout ce temps, combien
d'innocentes victimes ont à vivre les indicibles atrocités que
des aliénigènes et des hommes leur font subir à titre d'expériences
scientifiques dans leurs laboratoires souterrains? Je ne suis
pas arrivé à déterminer exactement ce qu'ils leur font. Plusieurs
personnes sont kidnappées et condamnées à vivre avec des dommages
psychologiques et physiques pour le reste de leur vie. Est-ce
que cela pourrait être en fait une opération de contrôle de l'esprit
par la CIA? Selon les documents que j'ai vus, un citoyen sur quarante
serait porteur d'un implant. Je n'ai toujours pas découvert le
but de ces minuscules appareils, mais le gouvernement semble croire
que les aliénigènes les utilisent pour se "monter" une armée d'individus
qui puisse être "mise en marche" et se retourner contre nous au
signal donné. Il est important que vous sachiez qu'à l'heure actuelle
nous sommes encore loin de pouvoir nous mesurer aux aliénigènes.
Le 26 avril 1989, j'ai fait parvenir au Sénat américain et à la
Chambre des Représentants 536 exemplaires d'une "pétition accusatoire"
et, à cette date, le 23 Novembre 1990, j'ai reçu 6 réponses, seulement
4 de plus qu'en mai 1989. Les conclusions sont inévitables 1)
Il y a des hommes qui ont échafaudé une structure secrète pour
étayer leur pouvoir en se basant sur la croyance que la planète
Terre, soit par suite de notre propre ignorance, soit en vertu
d'un décret divin, est appelée à se détruire un jour ou l'autre
d'ici peu. Ils croient sincèrement être en train de faire le bon
geste pour tenter de sauver l'humanité, mais il est cruellement
ironique qu'ils se soient crus obligés de s'allier à une race
extranéenne dont la condition était d'être elle-même engagée dans
un combat désespéré pour assurer sa propre survie. Cette entreprise
conjointe a nécessité, tant moralement que légalement, une foule
de compromis dont on découvre aujourd'hui l'ineptie et que l'on
se doit de corriger en commençant par exiger des responsables
qu'ils nous rendent compte de leurs actions. Pour autant que je
comprenne la crainte et l'urgence qui ont pu motiver leur décision
de ne pas en parler à la population, je ne les en excuse pas davantage.
L'Histoire est jalonnée de ces puissants groupuscules qui se sont
toujours crus les seuls capables de décider du sort de millions
d'êtres alors qu'ils n'ont jamais fait que provoquer des fléaux.
Notre grande civilisation doit son existence même à son respect
des principes de la liberté et de la démocratie. Je suis convaincu,
au plus profond de moi-même, qu'aucune nation ne pourra jamais
être prospère en faisant fi de ces principes. Il est temps de
tout révéler au public et d'unir nos efforts pour sauver l'humanité
toute entière. 2) Nous sommes actuellement manipulés par les puissances
extranéennes et les pouvoirs humains qui se sont coalisés en un
gouvernement mondial pour asservir à leurs ambitions une partie
de l'humanité. Ceci a été jugé nécessaire pour résoudre la question
primordiale : " qui parlera au nom de la planète Terre ? ". Il
a été décidé que l'homme n'est pas assez mature dans son développement
évolutionnaire pour être fiable dans sa manière d' agir correctement
avec une race extranéenne. Nous avons déjà assez de problème entre
les différentes races humaines, aussi que se passerait-il si une
race totalement étrangère extraterrestre était introduite ? Serait-elle
lynchée, lui cracherait-on au visage, ou lui tirerait-on dessus
? Est-ce que la discrimination résulterait en des rencontres désagréables
qui condamneraient l'humanité comme conséquence de leur très évidente
technologie supérieure ? Est-ce que nos dirigeants ont décidé
de nous isoler dans notre parc ? Le seul moyen d'empêcher ce scénario
d'avoir lieu est de provoquer un bond dans l'évolution des consciences,
un changement radical pour la race humaine toute entière. Je n'ai
aucune idée de la manière dont cela peut être fait, mais je sais
que cela a désespérément besoin d'être fait. Cela doit être fait
très rapidement et très silencieusement. 3) Les gouvernements
officiels se sont fait entièrement berner par les forces extranéenes
qui, quant à elles, n'ont d'autre intérêt que de nous réduire
tous à l'esclavage, quitte à anéantir la totalité de l'espèce
humaine. Là encore, nous devons tout faire en notre pouvoir pour
empêcher cela d'arriver. Si rien de ce qui précède n'est vrai,
il se produit toutefois actuellement des événements qui dépassent
notre entendement; mais, quoi qu'il en soit, notre première responsabilité
est d'exiger la vérité, car nous ne pouvons que nous blâmer nous-mêmes
d'être sur le point de récolter les fruits que nous avons produits
par nos propres actions et, surtout, par notre inaction depuis
44 ans. Puisque c'est de notre faute, nous sommes les seuls à
pouvoir changer les événements futurs. L'éducation me semble la
majeure partie de la solution. L'autre partie est l'abolition
du secret. Il est toujours possible que j'ai été manipulé et que
tout le scénario extranéen soit le plus grand canular de l'histoire
dans le but de créer un ennemi étranger provenant de l'espace
extérieur, de manière à accélérer la formation d'un gouvernement
mondial. J'ai trouvé une preuve que cela pourrait être vrai. Je
l'ai incluse dans l'appendice. Je vous conseille de considérer
ce scénario comme probable. Est-ce par indolence, ignorance ou
naïveté que nous avons abdiqué notre plus élémentaire devoir politique
en cessant d'être vigilants à l'égard d'un gouvernement qui se
targue d'être fondé "sur le peuple, par le peuple et pour le peuple"
et dont la structure même avait été conçue pour éviter qu'une
poignée d'individus puisse aussi sournoisement décider de la destinée
de ce peuple? Si nous avions accompli notre devoir, ce genre de
situation n'aurait jamais pu survenir, mais la plupart d'entre
nous ignorent jusqu'aux fonctions les plus fondamentales de notre
gouvernement. Nous sommes décidément devenus un vrai troupeau
de moutons, et à quoi sont finalement destinés des moutons sinon
qu'à l'abattoir? Il est temps de nous relever pour nous tenir
debout comme nos pères et marcher droit comme des êtres humains.
Je vous rappellerai seulement que les camps d'extermination nazis
dépassaient aussi l'imagination et non seulement celle des Juifs
d'Europe mais celle de toutes les nations de ce monde. Les Juifs
captifs ont marché avec obéissance vers les chambres à gaz, et
pourtant ils avaient été mis en garde, eux aussi! Vous devez comprendre
que, réel ou non, la présence des aliénigènes a été utilisée pour
neutraliser certaines grandes différentes parties de la population
: "ne vous inquiétez pas, les généreux frères de l'espace vous
sauveront ". Cela peut aussi être utilisé pour combler un manque
de menace extraterrestre pour justifier la formation d'un Nouvel
Ordre Mondial : "les aliénigènes sont parmi nous ". L'information
la plus importante dont vous aurez besoin pour déterminer vos
futures actions est que ce Nouvel Ordre Mondial exige la destruction
de la souveraineté des nations, ceci incluant les Etats-Unis.
Le nouvel ordre mondial ne peut pas et ne devra pas permettre
à notre constitution de continuer à exister. Le Nouvel Ordre Mondial
sera un système socialiste totalitaire. Nous serons des esclaves
enchaînés à un système de contrôle économique sans argent liquide.
Si la documentation que j'ai vue lorsque j'étais dans les services
de renseignement de la Marine est véridique, alors ce que vous
avez lu est probablement plus proche de la vérité que toute autre
chose écrite. Si, par contre c'est un canular, alors ce que vous
avez lu est exactement ce que les Illuminati veulent que vous
croyiez. Je peux vous assurer sans l'ombre d'un doute que même
si les aliénigènes ne sont pas réels, la technologie, elle, EST
REELLE. Les vaisseaux à antigravité existent et des pilotes humains
les conduisent. Moi et des millions d'autres, nous les avons vu.
Ils sont en métal, ce sont des machines, ils ont différentes tailles
et formes et sont très évidemment guidés par une forme intelligente.
Si soudainement il y avait une menace envers ce monde en provenance
d'une espèce d'une autre planète, nous oublierions tous ces petits
conflits locaux qui ont lieu entre nos deux grands pays et nous
comprendrions une fois pour toute que nous sommes en fait tous
des êtres humains de cette Terre. Ronald Reagan s'adressant à
Mikhail Gorbachev NDT : A noter qu'un président des Etats-Unis,
Jimmy Carter, avait déclaré avant d' être élu président qu'il
essaierait de clarifier le phénomène OVNI, car il avait fait lui-même
une observation d'OVNI, observation qu'il avait officiellement
consignée par écrit à l'époque aux autorités. Mais une fois en
poste, il n'a jamais rien fait de la sorte. D'après une remarque
de Mr Cooper : Lorsque le président Nixon a prononcé son discours
de départ, il a annoncé qu'il dirait au peuple américain la vérité
à propos des ONVI. Comme James Forrestal, Richard Nixon s'est
retrouvé prisonnier à l'hôpital de la Marine de Bethesda. Mais
contrairement à Forrestal, Nixon a survécu. Il est resté silencieux.
La totalité des éléments de l'appendice (ce sont des photocopies
de documents originaux comme des lettres, les registres de service
de l'armée de Mr Cooper, des articles de journaux et des documents
secrets déclassifiés) sont disponibles dans le livre dont est
extrait ce document. Nous ne les reproduirons pas ici par manque
de place (l'appendice fait près de 150 pages). *****************************************************************
Ci-joint un document écrit par Mr Cooper non disponible dans son
livre, mais publié conjointement à une traduction de la version
originale de 1989 de ce document, aux éditions Louise Courteau,
dont le titre est : L'origine, l' identité, et le but de MJ-12
et présenté par Richard Glenn. A noter que cette traduction a
servi de document de départ pour la traduction de la version révisée
du livre de Mr Cooper J'ai récemment rencontré, par l'intermédiaire
d'un ami, quelqu'un dont le témoignage a corroboré certains passages
de mon dossier, intitulé MAJIC.TXT. Je suis sûr que cela va vous
intéresser. Vous allez sans doute remarquer, à certains indices
au cours de notre conversation, que j'ai essayé de vérifier si
mon interlocuteur était vraiment au courant des faits relatés
dans mon document. Il faut vous dire que je ne l'ai pas forcé
à me révéler quoi que ce soit; je lui ai simplement demandé de
lire un exemplaire de mon document et de me rappeler s'il le désirait.
Je ne l'ai rencontré qu'à deux reprises, la première fois pour
lui être présenté, et la seconde pour entendre ses commentaires
à la suite de sa lecture. Je prenais part à une réception organisée
par un ami de longue date à l'occasion de Noël quand, au cours
de la soirée, cet ami m'a pris à part pour me dire que l'un de
ses invités aurait sans doute quelque chose d'intéressant à me
révéler relativement aux informations que je venais tout juste
de publier. Son intuition s'appuyait sur le fait que cet homme
avait servi dans les forces armées pendant 21 ans et qu'il avait
été assigné, entre autres, aux services de sécurité Delta. Cette
coïncidence ne pouvait certes pas manquer de piquer ma curiosité.
Aussi ai-je demandé à lui être présenté sur-le-champ. Dés l'abord,
j'ai été impressionné par la vigueur de son physique grand, mince
et droit, et la vivacité de son esprit, alors qu'il était presque
septuagénaire. Seuls ses cheveux gris trahissaient son âge, mais
il avait le maintien altier de celui qui est depuis longtemps
rompu à la discipline militaire. J'ai entamé la conversation en
lui confiant que j'avais moi-même été longtemps engagé dans la
Marine. Puis je lui ai demandé où il avait été cantonné. Il m'a
répondu avoir accompli la majeure partie de son service dans le
Colorado, le Nouveau-Mexique, le Névada et à la base aérienne
d'Edwards en Floride. Je lui ai alors fait part de mon étonnement
de ce qu'il ait pu être affecté à une base de l'armée de l'air,
lui qui était de l'armée de terre. "C'est vrai, m'a-t-il répliqué,
mais je travaillais pour les services Delta, et nous assurions
la sécurité de plusieurs projets interarmes." Je lui ai ensuite
demandé s'il avait déjà entendu parler du projet REDLIGHT. J'ai
remarqué qu'il est aussitôt devenu mal à l'aise - Les yeux mi-clos,
il a jeté un coup d'oeil autour comme s'il cherchait un endroit
plus discret. "C'est possible, a-t-il repris, mais vous devez
bien savoir, puisque vous étiez dans la Marine, que je ne peux
rien divulguer des opérations auxquelles j'étais affecté." J'espérais
le rassurer en lui expliquant que j'avais sans doute exercé le
même genre de fonctions, ayant moi-même travaillé aux renseignements
de la Marine pendant un certain temps. Mais, depuis que j'avais
mentionné le nom de Redlight, rien n'y faisait pour arriver à
dissiper son malaise. Nous avons encore échangé quelques paroles
puis je me suis excusé pour aller rejoindre mon copain, à qui
j'ai demandé s'il pouvait me remettre son exemplaire de mon MAJIC.TXT.
Après s'être absenté quelques instants, il est revenu avec le
document en main. J'ai attendu que le vétéran de l'armée prenne
congé pour le suivre à son automobile. Je lui ai présenté le document
pour qu'il regarde le dessin que j'avais esquissé à l'endos. Malgré
sa hâte de quitter les lieux, il a néanmoins pris le temps, pendant
que je l'observais en silence, d'examiner cette reproduction de
l'Insigne trilatéral. Il m'a d'abord demandé où j'avais vu cet
emblème et je lui ai répondu que je le tenais des services de
renseignements de la Marine. Puis c'est moi qui me suis informé
si lui-même le connaissait, ce à quoi il m'a dit l'avoir vu sur
une pièce d'équipement. "Savez-vous de quel type d'équipement
il s'agit?" m'a-t-il demandé. "D'un appareil qui ne fait pas de
bruit", lui ai-je dit. "Ainsi, a-t-il repris, vous savez exactement
en quoi consiste le projet Redlight!" J'en ai alors profité pour
lui expliquer que le document qu'il tenait dans les mains contenait
justement toute mon information à ce sujet et que j'aimerais bien
qu'il le lise d'abord et me donne ensuite rendez-vous pour me
raconter sa propre expérience par rapport à ce dossier. Je lui
ai assuré que je ne révélais jamais l'identité de mes sources,
donc a fortiori la sienne. Il m'a alors regardé droit dans les
yeux en me prévenant que, si jamais je l'impliquais dans cette
affaire en rapportant notre conversation, il n'éprouverait aucun
remords à me faire passer pour un menteur devant tout le monde.
Je comprenais parfaitement sa méfiance et, pour lui garantir ma
bonne foi, je lui ai conseillé de s'enquérir à mon sujet auprès
de notre ami commun, qu'il connaissait "depuis près de sept ans",
m'a-t-il dit. Il m'a salué et est parti en emportant mon document.
Il m'a téléphoné quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous
en plein jour la veille de Noël. Nous avons convenu de nous rencontrer
à une table de pique-nique dans un parc. La première chose qu'il
a dite en me voyant a été d'insister à nouveau pour que son nom
ne soit jamais mêlé à ce que je pourrais faire ou dire, et il
a ajouté qu'il ne voulait jamais plus me revoir après cette rencontre.
J'ai accepté ses conditions et il m'a alors donné son numéro de
téléphone pour que je le prévienne si jamais je découvrais par
la suite que sa sécurité était compromise. Après avoir acquiescé
à cette autre requête, je lui ai demandé la raison pour laquelle
il avait finalement accepté de me parler de son rôle dans ce dossier.
"Pour la même raison qui vous pousse aussi à en parler, m'a-t-il
rétorqué. Toute cette affaire prend une très mauvaise tournure
et cela ne présage rien de bon. " Je lui ai proposé de me raconter
ce qu'il savait, mais il préférait que je lui pose des questions.
Par ailleurs, il a refusé que j'enregistre ses réponses sur mon
magnétophone, de peur qu'on identifie sa voix. Je me suis soumis
d'autant plus volontiers qu'il avait tout à fait raison. Il a
cependant consenti à me laisser prendre des notes par écrit. Voici
donc la reconstitution partielle de notre conversation, que je
me suis empressé de rédiger aussitôt arrivé chez moi. Etant donné
que je ne connaissais pas cet homme, je n'ai aucun point auquel
me référer pour évaluer le bien-fondé de ses propos ou l'authenticité
de ses renseignements. Par contre, je le crois sincère, car il
lui aurait fallu être un acteur doué d'un talent vraiment exceptionnel
pour arriver à exprimer toute la gamme des émotions qui se sont
dessinées sur son visage au fur et à mesure de ses révélations.
Cooper: Où aviez-vous vu l'Insigne trilatéral que je vous ai montré
à la réception de notre ami? Le vétéran: Sur une soucoupe volante
que j'avais mission de surveiller à la base aérienne d'Edwards.
Je l'ai revu sur différentes soucoupes quand j'ai été affecté
à la zone 51 au Névada. Laissez-moi vous dire combien j'ai été
étonné par la précision et la quantité de vos informations à ce
sujet. Cooper: La plupart d'entre elles découlent de documents
dont j'ai personnellement pris connaissance au début des années
70. Le reste m'a été transmis par des informateurs. Le dossier
que j'ai monté est le fruit de 17 années de recherche. En outre,
une bonne partie de ma documentation provient de rencontres comme
celle que nous tenons en ce moment. Pouvez-vous me relater les
circonstances dans lesquelles il vous a été donné de voir cette
soucoupe à Edwards? Le vétéran: On m'avait assigné la garde d'un
hangar dont je ne connaissais même pas le contenu. Cooper: Quel
était le nom de ce hangar'? Le vétéran: Il ne portait ni nom ni
numéro. On l'appelait le hangar Delta. Cooper: Pouvez-vous me
dire où il est situé sur la base? Le vétéran: Il est isolé sur
la partie nord, complètement à l'écart, et personne ne peut y
avoir accès sans être muni d'un sauf-conduit et d'un insigne spécial.
Cooper: À quoi ressemble cet insigne? Le vétéran: À celui que
vous m'avez dessiné: un triangle noir sur fond rouge. À l'endos,
il porte une description du détenteur comme toute autre carte
d'identité. Cooper: Comment êtes-vous arrivé à voir la soucoupe?
Le vétéran: On ne peut pénétrer dans le hangar que par une seule
porte, et celle-ci donne directement sur le corps de garde. Au
fond de cette salle, une autre porte donne accès à un bureau qui
lui-même commande le hangar proprement dit. Il nous était strictement
défendu de franchir le seuil du bureau mais, un soir, l'officier
en devoir m'a demandé si je savais sur quel objet je veillais.
Je lui ai répondu qu'il n'était pas dans mes attributions de le
savoir. Il m'a alors demandé si j'étais intéressé à le voir. Croyant
qu'il cherchait simplement à me mettre à l'épreuve, je lui ai
répondu que ce n'était pas nécessaire. Il m'a fait alors signe
de le suivre et nous avons traversé le bureau, puis il a déverrouillé
la porte du hangar. C'est là que j'ai vu la soucoupe, posée sur
ses pieds mais appuyée aussi sur des vérins. Cooper: Vous employez
le mot "soucoupe". Est-ce à dire que cet engin était circulaire?
Le vétéran: Oui, c'était exactement le genre de soucoupe volante
qu'on est habitué à voir au cinéma. Cooper: Pouvez-vous me la
décrire? Le vétéran: Elle avait un diamètre de dix mètres environ
et semblait faite d'un métal non brillant, comme de l'argent terni.
Cooper: Quelle hauteur avait-elle? Le vétéran: De cinq à six mètres
environ. L'Insigne trilatéral y apparaissait sur les deux faces,
supérieure et inférieure. Cooper: Avez-vous remarqué des ouvertures?
Le vétéran: Non, mais il faut dire que je n'en ai vu qu'un seul
côté et à peine trois ou quatre minutes. Cooper: Avez-vous aperçu
des hublots? Le vétéran: Je crois qu'il y en avait tout autour
de la partie supérieure, mais je ne pouvais rien distinguer à
l'intérieur. Cooper: Etaient-ils ronds? Le vétéran: Non, ils étaient
rectangulaires. J'ai aussi remarqué deux rainures qui faisaient
le tour de la carlingue, l'une sur la face supérieure et l'autre
sur la face inférieure à un peu plus d'un mètre de l'intersection
de ces deux moitiés, et une partie de la face intérieure ressemblait
à des grilles ou des lucarnes. Cooper: L'officier vous a-t-il
dit quelque chose? Le vétéran: Simplement qu'il ne m'avait pas
tout montré, puis nous sommes retournés au corps de garde et il
est parti. Cooper: Etrange comportement, ne trouvez-vous pas?
Le vétéran: Tout ce qui avait trait à Delta était étrange, tout
ce que l'on voyait, tout ce que l'on faisait... Par moments, j'ai
vu des hommes éclater en larmes sans raison apparente; et, quand
un type avait le malheur de craquer, il disparaissait à tout jamais.
Cooper: Qu'advenait-il à ces hommes? Le vétéran: Je ne sais pas
et je n'ai jamais cherché à le savoir. Cooper: Avez-vous objection
à parler de vos autres expériences? Le vétéran: Non, pas du tout.
Cooper: Comment êtes-vous entré à Delta? Le vétéran: J'avais d'abord
été recruté dans l'Organisation de reconnaissance nationale et
envoyé à Fort Carson au Colorado. Puis, après un entraînement
intensif, j'ai été soumis à une sévère procédure de sélection
imposée par les services de sécurité Delta, à l'issue de laquelle
ils m'ont enrôlé. Cooper: Sur quels critères se sont-ils basés
pour vous choisir? Le vétéran: Premièrement, m'a-t-on dit, parce
que j'étais orphelin. Imaginez un instant qu'un homme soit victime
d'un accident grave dans le cadre d'opérations secrètes. S'il
a de la famille, ses parents risquent de compromettre tout le
projet simplement en essayant de connaître les circonstances entourant
la disparition de leur cher fils. Cooper: Les membres des équipes
Delta sont-ils tous orphelins? Le vétéran: D'une certaine manière
puisque leurs parents sont tous disparus, décédés depuis longtemps
ou récemment, morts de maladie ou tués dans un accident. Cooper:
N'étiez-vous pas un peu perplexe par rapport à ce critère? Autrement
dit, vous demandiez-vous en quoi pouvait consister ce secret qui
semblait si important qu'on doive y assigner des orphelins? Le
vétéran: J'ai vu certaines choses... On racontait des histoires...
au sujet de Dreamland surtout... Avez-vous entendu parler des
chasseurs de primes de Dreamland? Cooper Que voulez-vous dire?
Le vétéran: Quand un homme est affecté à Dreamland, s'il sort
en permission ou en devoir et qu'il lui prend la fantaisie de
ne pas rentrer à temps ou de ne pas revenir du tout, alors sa
tête est pour ainsi dire mise à prix et les chasseurs de primes
se lancent à sa recherche pour le ramener dans les installations
souterraines où vivent les visiteurs... Vous savez de qui je veux
parler, mais je crois que je ferais mieux de me taire. De toute
façon, je ne m'en souviens presque plus... et n'étions-nous pas
censés nous entretenir de Redlight? Cooper: Nous n'avions aucunement
convenu de nous limiter à ce seul sujet. Est-ce une nouvelle condition?
Le vétéran: Oui, il vaut mieux parler d'autre chose. Je peux seulement
vous dire qu'il se passe des choses vraiment bizarres à Dreamland.
Cooper: Que voulez-vous dire quand vous prétendez ne plus vous
souvenir? Le vétéran: Je n'arrive plus à me rappeler... Je n'ai
vraiment pas envie d'en parler, voilà tout... Cooper: Non, s'il
vous plaît, ne me faites pas ce coup-là. Allez! Vous m'en parlez
ou vous ne m'en parlez pas, mais cessez de jouer avec mes nerfs!
Qu'avez-vous à ajouter sur Dreamland? Pouvez-vous au moins me
dire où c'est situé? Le vétéran: Non, je cours un trop grand risque,
c'est trop dangereux, et maintenant je suis marié. Cooper: Très
bien, alors parlez-moi de la zone 51. Le vétéran: C'est le quartier
général de Redlight. Elle est située au lac Groom dans le Névada
Celui-ci est en plein coeur d'un champ de manoeuvres que vous
pouvez voir en consultant une carte. Il s'agit d'un lac asséché
sur le lit duquel on a érigé des installations ultra-secrètes.
On y pratique des vols d'essai à bord de soucoupes volantes. Cooper:
En avez-vous déjà vu quelques-unes voler? Le vétéran: Oui, elles
sont parfaitement silencieuses et se déplacent à des vitesses
prodigieuses. Cooper: Est-ce le même type d'appareil qu'à Edwards?
Le vétéran: L'un des deux que j'ai vus est semblable. Quant à
l'autre, il ressemble à un diamant qu'on aurait retourné à l'envers
après l'avoir sorti du chaton d'une bague de fiançailles. Cooper:
Voulez-vous dire qu'il donne vraiment l'impression du diamant?
Le vétéran: Pas tout à fait, mais la forme est semblable. De plus,
en plein vol, il devient brillant comme le soleil et parfois même
iridescent. Par contre, au sol, il présente la même apparence
de métal terne que la soucoupe d'Edwards. Cooper: À quelle distance
de l'appareil vous teniez-vous quand vous l'avez vu? Le vétéran:
Assez loin puisque personne n'a le droit de s'en approcher, à
cause des radiations, sans doute. Cooper: Entendez-vous par là
qu'il était propulsé à l'énergie nucléaire? Le vétéran: Je n'en
suis pas certain, mais je suppose qu'il représentait un risque
élevé de radioactivité puisqu'il nous fallait toujours porter
un dosimètre* sur nous et aller l'échanger contre un autre tous
les jours pour le faire vérifier. Cooper: Combien de temps êtes-vous
resté à la zone 51? Le vétéran: Mon premier stage a duré trois
mois. D'ailleurs, jamais personne n'y est affecté plus longtemps
que quelques mois. La seconde fois, j'y ai été consigné près de
cinq mois, comme en temps de guerre, sans permission de sortie;
mais il faut dire que ces quartiers sont pourvus d'excellents
équipements récréatifs. Cooper: Je suis navré de vous talonner,
mais j'aimerais vraiment en apprendre plus long sur Dreamland
parce que votre témoignage ne semble pas concorder avec mes autres
sources d'information. On m'a dit que la base extranéenne est
située au Nouveau-Mexique. S'agirait-il de Dreamland? Le vétéran:
Il y a plusieurs bases... Mais je dois maintenant partir. J'ai
tort de vous parler de tout cela; je ne devrais pas, c'est beaucoup
trop dangereux, bien plus que vous ne l'imaginez. Je ne suis pas
au courant de tout mais je sais que la situation est complètement
désespérée. A vous dire vrai, je suis très inquiet de ce que l'avenir
nous réserve. Ne me demandez pas de vous expliquer, je ne sais
pas de quoi il s'agit; mais je suis certain qu'il se trame quelque
chose. On construit actuellement d'immenses abris souterrains
sous le lac Groom et ailleurs. De toute manière, à voir votre
dossier, je crois que vous êtes mieux documenté que moi à ce sujet.
Maintenant, permettez que je m'en aille. C'est la veille de Noël
et je demeure assez loin. Cooper: Avant de partir, voudriez-vous
jeter un coup d'oeil aux notes que je viens de prendre et les
rectifier s'il y a lieu? Le vétéran: Ce n'est pas la peine. J'ai
observé pendant que vous écriviez, et vous n'avez rien oublié.
Mais puis-je vous demander ce que vous comptez faire de ces notes?
Cooper:: Je vais d'abord les compiler dans un dossier puis les
publier sous la forme d'un dialogue en prenant garde de ne pas
vous identifier. Le vétéran: Si, de toute façon, vous le faisiez,
je vous répète que je nierais tout et vous accuserais de diffamation.
Cooper:: Soyez sans crainte, je n'ai jamais nommé mes informateurs.
Si, un jour, vous aviez l'intention de me révéler autre chose,
vous avez mon numéro... Le vétéran: Je ne pense pas. Vous auriez
intérêt à être très prudent. A votre place, je ferais attention
à moi et je ne rapporterais pas cette conversation. Vous devriez
y réfléchir. Cooper Que pensez-vous qu'il puisse m'arriver'? Le
vétéran: La même chose qu'aux autres... Vous devriez laisser tomber...
Vous... Personne n'y peut plus rien changer! Le reste de notre
conversation n'a consisté qu'en salutations d'usage. Cet homme
m'a paru vraiment sincère et profondément tourmenté par ce qu'il
racontait. En tout cas, il semblait se faire réellement du souci
pour ma sécurité comme pour la sienne. Il est le deuxième à me
donner la description d'une soucoupe volante à la base d'Edwards.
Tous deux m'ont parlé du même insigne de sécurité et ont fait
également référence au fameux Dreamland. Mais c'est la première
fois que j'entendais mentionner l'existence de plusieurs bases
extranéennes et aussi celle des chasseurs de primes. Je crois,
de plus, qu'il y a un lien significatif à établir entre l'usage
des dosimètres et l'incident qui est survenu aux deux femmes dans
le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à Edwards.
Pour ma part, je n'en connais pas l'emplacement. Cette allusion
au "pays des rêves" dans le choix même du mot Dreamland me rend
perplexe parce que cette désignation ne correspond pas à celles
que l'armée à tendance à utiliser pour nommer ses projets ou les
sites de ses opérations. J'aimerais préciser que mes informateurs
m'avaient d'abord signalé que la base extranéenne était située
à Dreamland; mais, par la suite, ils se sont rétractés et ont
nié cette information. Il est tout de même étrange que ce nom
revienne constamment sur les lèvres à chaque fois qu'il est question
de la base extranéenne! Par ailleurs, comment savoir puisque les
victimes d'enlèvement invoquent unanimement la défaillance de
leur mémoire? En définitive, les réponses du vétéran de l'armée
ne m'auront personnellement apporté que de nouvelles questions..,
encore plus troublantes ! *Le type de dosimètre qu'on utilisait
du temps où je servais dans la Marine consistait en une pellicule
photographique insérée dans un insigne que les membres du personnel
devaient épingler à leur chemise lorsqu'ils travaillaient dans
des zones où ils risquaient d'être exposés à des radiations nucléaires.
En raison de sa photosensibilité, la pellicule réagissait aux
radiations et, selon son degré d'exposition, il était possible
d'évaluer la dose exacte de radioactivité à laquelle chaque membre
avait pu être exposé. Au Commandement aérostratégique, je portais
un tel dispositif parce que les aéronefs d'alerte étaient équipés
en permanence d' armes nucléaires. Nos dosimètres étaient vérifiés
une fois par semaine. S'ils indiquaient une exposition aux radiations,
il nous fallait alors nous soumettre à un processus de décontamination.
Pour ma part, cette mesure n'a jamais été nécessaire pendant toute
la durée de mon service.
|